Fil d'Actu...

Cette page ne contient que des brèves qui nous permettent de relever un certain nombre d'assertions évoquées dans des articles de la Presse Locale.
Á l'instar de La Charente Libre qui a institué les flèches vertes et rouges pour signaler l'évolution d'une personnalité, nous attribuerons, sans scrupules la même symbolique pour chaque évènement évoqué.

Merci CL, on vous renverra l'ascenseur !

Nous insistons sur le fait que cette évaluation ne concerne que l'évènement évoqué. 

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CL 21/06/2023

C'est la fête au village !

Charente libre, vous avez « dévoyé » notre engagement politique qui ne souffre d'aucune ambiguïté, contrairement à celle de « Cognac en Commun ». En effet, en associant à la NUPES, le groupe municipal, dit de « gauche », vous avez surestimé l’engagement politique de ce dernier, qui ne se réclame pas du PS et n’arbore plus depuis longtemps le poing et la rose.

Pour LFI, à l’origine de la NUPES (« selon les observateurs avertis »), il est impossible de signer une tribune avec LR et l’élu de la Macronie en ce qui concerne un désaccord quant à la« gestion et la gouvernance » de Morgan Berger. De fait, cela ne nous parait pas essentiel de fustiger les sourires et embrassades, au regard de l’absence de réponse de l’opposition comme de la majorité municipale, face à l’urgence climatique, sociale, démocratique. Les « combats » fondamentaux en ces temps de crise sont ailleurs. Dans ce domaine, c'est l'hôpital qui se moque de la charité, si l'on veut bien se reporter à la pauvreté des programmes des oppositions…

Oui, comme l’évoque Thomas Brunet, ce rapprochement est contre nature etaltère un engagement politiquede gauche.

C’est pourquoi ils n’ont cessé de fustiger la position de FAURE qui, à la lecture de l’état de décomposition du PS pour avoir un groupe parlementaire, a passé un accord électoral avec LFI et a donc intégré la NUPES.

Ils préfèrent se revendiquer de Casenave, Hollande, Rousset, Delga et consorts qui sont les fossoyeurs du PS et de la gauche néo libérale (ce qui n’est pas pour nous déplaire). Ils sont prêts à toutes les compromissions pour exister. À quand une liste d’intérêt communal qui n’en porterait que le nom ?

Une autre précision importante à affiner pour ce journaliste qui ne semble pas au fait politique du Cognaçais. Quelle décrépitude ! : J. Muñoz , C. Guindet M. Gourinchas sont les anciens caciques et chefs d’orchestre du PS reconvertis en la circonstance en musicastres et en ce jour de la fête de la musique, les rois du pipeau nous jouent donc une partition musicale qui relève plus d’une musique folklorique locale que du zouglou !

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CL 13/04/2022

Des Mélenchonistes à la majorité des électeurs...
 
En première page et en gros caractères gras "DES MÉLENCHONISTES PRÊTS À VOTER LEPEN"

L'article tient sur une page entière en page 3.  Des prénoms, pas de ville ou village, ni de nom de famille, ni de photo pour certains. Question : sont-ils des citoyens qui ont voté JLM ?

Affirmation : quand ont vote JLM, on ne se cache pas.

Page 3, au milieu de l'article, Sous-titre 2, "ils ne choisiront pas". C'est l'option choisie par la majorité des charentais.

Sincèrement, monsieur le journaliste, vous ne trouvez pas que votre façon de procéder est dilatoire et pas respectueuse de la majorité des électeurs de JLM ?

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CL 28/02/2022
Le chiffre

C’est l’indice de satisfaction pour cet entrefilet, paru dans CL du 28/02/2022, sous le titre « Le chiffre ». En effet, il a été indiqué, lors de la conférence de presse, que la diffusion nationale du programme « l’Avenir en Commun » battait tous les records : 100 000 exemplaires au 27/01/2022 pour les ventes en magasin.
A
près les trois week-ends de ventes militantes de programmes partout en France de novembre 2021 à janvier 2022, cela fait, depuis sa sortie, que le programme de Mélenchon est 1er ou 2e dans tous les classements en catégorie essais-documents, loin devant le dernier livre d’Éric Zemmour. 

Pour finir en beauté : en un mois, la chaîne Youtube de MÉLENCHON enregistre 36 000 abonnements supplémentaires pour un total de 696 000.

Mais peut-être que ça n’a pas été entendu pour cause de départ dudit journaliste…

Pour paraphraser : « On ne peut donc pas parler de… » vraie démarche journalistique ! C’est pourquoi, nous attribuons une  à cet entrefilet.

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SO Mag de juin 2021

Le MAG Sud Ouest de juin appelle de notre part

quelques commentaires...

« En route vers la prudence »

Que la police municipale ait pour fonction la prévention et non d'être équipée comme la police nationale pour faire son travail, cela nous convient. Petit bémol : c'est le sponsoring par des compagnies d’assurances qui, loin de faire cela par altruisme, utilisent nos enfants comme vecteur de publicité et comme de futurs consommateurs.

à la municipalité et aux fédérations de parents d’élèves.

« Le pavage »

Nous avions soulevé en son temps cette aberration que les services techniques de Cognac avec la compétence du service voirie se contentent de mettre des pièces de goudron, là où des pavés étaient absents. Ce qui n’était pas possible sous l’ancienne municipalité et possible aujourd’hui .

« retour à la vie »

Nous avions exprimé le désir de conserver les serres, surtout pour produire du maraîchage BIO, dans le but d’alimenter la restauration centrale. Peu mieux faire...

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« L’entrée place E. Martell »

Nous avions proposé un triangle rue St Martin, rue d’Angoulême, allée de la corderie par la suppression des feux et d’enfouir les réseaux, de mettre en œuvre un éclairage solaire, de piétonniser, de végétaliser avec piste cyclable et une voie à sans unique pour voiture et ce jusqu’au rond point de la pharmacie centrale. Cela s'en rapproche : peu mieux faire...

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Par contre végétaliser et rendre accessible au vélos et aux piétons la rue Gâtebourse, c'est heureux.

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Après l’arrêt de la vidéo, la suppression de l’éclairage public la nuit, etc... une proposition :

À quand un chantier d’insertion pour rendre les tours de St jacques accessibles ?.

Serge L

 
 
CL 30/04/2021

ILS FONT PISSER LE FRIC AU DÉTRIMENT DE NOTRE SANTÉ
Le respect de la vie humaine passe d'abord par la volonté politique !
 
CL 23/04/2021 (cliquer pour lire...)
N
otre billet de mauvaise humeur passe par un petit rappel, suite à l’article de Charente Libre du 23/04/2021.

Nous pensions nous présenter à l’élection municipale de Cognac et nous avions précisé que les choix politiques en termes de vie, d’aménagement et de démocratie pour notre territoire (en commun) relevaient de l’agglomération.

En ce qui concerne l’eau, compétence de l’agglo, nous sommes les seuls depuis longtemps partisans des premiers m3 gratuits, mais aussi pour une gestion des réseaux, de son traitement et de sa distribution par une gestion en régie. Nous avons maintes fois dénoncé la délégation à une entreprise privée.

https://www.quechoisir.org/carte-interactive-qualite-eau-n21241/
Faut-il ici rappeler les supers profits de Veolia et ses tricheries qui ont volé les utilisateurs après avoir baissé leur exigence financière qui laissait déjà entrevoir la nature abusive du contrat pourtant signé avec la bénédiction en l’espèce des élus (droite et socialiste). Pourtant, à l‘époque ils s’opposaient à notre demande de régie en nous faisant valoir la qualité de leur prestation et le savoir faire, etc.. Aujourd’hui ,faut-il en rire ou en pleurer, surtout après la mise en lumière par Que Choisir de la mauvaise qualité de l’eau, repris par Charente Libre.

Dormez tranquille brave gens pour ne citer que le vice président chargé du cycle de l'eau, Michaël Villéger, responsable de ce dossier à l’agglo : « nous sommes vigilants ».

Ah bon, depuis quand ? Et cela change-t-il quelque chose au problème, puisqu’il y a trois ans, une dérogation avait été accordée pour remédier au problème et qu’il souhaite la renouveler ?.

Nous, toujours aussi constants, nous avions dénoncé, pendant la campagne municipale, la présence au-delà des normes (ANSES) des pesticides et autres dans l’eau de captage, mais aussi cette dérogation. Nous avions proposé de mettre autour de la table les représentants des pollueurs, afin d’obtenir des dédommagements pour permettre les investissements immédiats nécessaires au filtrage de l’eau, avant de poursuivre en justice si nécessaire et ce sur la base POLLUEURS PAYEURS.

À cette époque, ni la presse, ni nos adversaires prompts à reprendre certaines de nos propositions ne se sont saisis de ce possible.

Nous demandons d’interdire la consommation de l’eau pour l’alimentation sur les communes de Angeac, St Fort, Salles d’Angles, Verrières, Gimeux, Ars, par précaution sanitaire, mais pas de confiner les pollueurs !!

Pour conclure, ce qui est désespérant dans cette histoire, c’est l’incurie et le silence des élus, qui sont devenus des gestionnaires des affaires publiques et ne font plus de politique, de peur de froisser la puissance financière. Par contre Michaël Villéger reconnaît que cette dérogation « ne va pas faire plaisir ».

Cette attitude, inconséquente conduit et explique pour partie l’abstention et le manque de confiance dans les élus. MERCI Charente Libre !

Nuage de TCHERNOBYL



CL 23/04/2021
 
Affiche Maryline Podtiaguine ancienne conseillère municipale avec Michel Gourinchas
DUPERIE !
Je souhaite revenir sur cette affiche. Pas de logo de parti et surtout pas de « poing et la rose » si fièrement affichée pendant des années. Il est vrai que les moins de 20 ans n’ont pas connu et que nous, nous y sommes habitués à cette absence...

Puis une ligne qui présente cette candidate comme celle de la gauche unie ! MENSONGE... C’est quoi cette gôche et c’est qui ? Que je sache Lutte ouvrière, NPA, LFI,  etc... n’ont pas souhaité s’allier avec les fossoyeurs de la gauche qui n'est autre que le PS (loi "lconnerie", CICE, casse des Services Publics, etc...), sans oublier Macron, ministre de l’économie qui n’a pas répondu aux aspirations populaires par une gestion libérale.

Au niveau du département, une gestion passéiste, sans souffle et ne répondant pas à l’urgence sociale, environnementale et économique 

C’est de cette gôche unie que vous parlez ? NON MERCI !!!

Un militant socialiste

Pour finaliser nos candidatures pour les cantons COGNAC Nord et COGNAC Sud,nous cherchons encore un « citoyen et une citoyenne » pour porter un projet de rupture avec ceux mis en œuvre par la droite et le PS .

Notre projet répondra à trois urgences :

      • URGENCE Sociale
      • URGENCE Démocratique,

      • URGENCE Environnementale

ELLES s’inscrivent dans le projet politique porté par LFI «  L’Avenir En Commun »

Me contacter par tél ou Messenger.

Merci et au plaisir de vous lire.


CL 13/03/2021

Des précisions nécessaires...

Il nous est apparu la nécessité de préciser un certain nombre de choses, au regard de ce qui se passe sur notre territoire au plan politique. Dans un premier temps commenter l'article de CL du 13/03 signé I Karoum : « Les départementales au petit trot » :
  •   « Entre difficultés à trouver des candidats, les tractations d’appareils politiques et l'absence total de viviers militants... » Effectivement, en ce qui nous concerne, avant de passer au galop nous en sommes au pas : pas assez de jeunes militants à ce jour a fait que nous n'avons pas présenté nos candidats qui se présenteront sur Cognac Nord et Sud. Une fois les candidats arrêtés, nous nous ferons un plaisir de rassurer I. Karoum ! D'ores et déjà, le projet étant fait, ça ne devrait pas trop tarder.. 
  • « tractations politiques... P. Bouty sera le captaine de l'équipe de gauche» : socialiste il l'est encore peu et DVG, nous savons pourquoi. Il tente de rassembler avec difficulté l'ensemble de la gauche, mais comment peut-on le considérer comme capitaine ? D'autant que nous avons vécu les premières réunions, cet été, et nous avons constaté que nous étions plutôt dans la lutte des places que dans la lutte des classes :
  • Dans ces conditions, LFI a quitté le navire et a laissé voguer le capitaine pour retourner dans l'ancien monde avec le soutien des communistes qui n'ont jamais « claqué la porte », puisque c'est plutôt nous ! Arriveront-ils à tromper les électeurs ?  [] à CL pour Fake news, mauvaise source...

  • les mêmes qui n'ont que l'ambition d'être élus, nous ont montré leur constance, lors du débat d'orientation budgétaire, les ex candidats LREM, PS, LR qui se sont opposés, pendant la campagne électorale, projet contre projet ont voté à l'unanimité avec la majorité !

Une autre illustration qui démontre que bien souvent, les ambitions personnelles, au détriment d'un vrai projet politique, conduisent à tromper les électeurs. Plus un candidat PS que DVG : Thomas Mesnier (député LREM) sur la liste de Sourisseau. Mais les calculs personnels ne garantissent pas toujours le succès : pour exemple Sardain Socialiste, transfuge de LREM ne retient pas l'attention de Sourisseau Président du Conseil départemental.

[] à M. Berger qui interrompt l'éclairage public pour des raisons environnementales et d'économie, alors que ça ne figurait pas dans son projet. Nous encourageons le maire à continuer de suivre cette voie de Droite pragmatique, imprévisible qui surprend.

 
CL 20/08/2020

« Que tout le monde rame dans le même sens ! »


Extrait CL 20/08/2020

« Marianne Reynaud se dit prête à prendre la présidence de l'ASERC ». Cela appelle de ma part quelques commentaires.

Une présidence ne se prend pas et ne se déclame pas dans la presse à grand renfort de « MOI je ». On la fait plus modeste et lors de l’AG, on propose une lecture de ce qui peut être fait en terme de gouvernance et de services à rendre à la population. Puis, l’on soumet sa candidature et pourquoi pas comme membre du CA . Il est vrai qu’il est plus gratifiant pour son ego de tenir le gouvernail que de ramer et l’on est plus visible.

La question mérite d’être posée, que n’a t-elle pas fait « Remettre du lien entre les partenaires et la structure » ou réussi à faire dans le cadre de son mandat, où elle représentait la mairie, le principal bailleur de l’ASERC et ce au regard de so statut qui va faire peur à d’éventuels candidat (es).

Et oui, à l’écouter je cite : « je suis expérimentée... je connais les partenaires... j’ai la mémoire des dossiers... mon profil est intéressant... j’ai la compétence politique et technique... » N’en jetez plus la cour est pleine !

L'ASERC mérite mieux que le grand vide qui accompagne ces déclarations dont le seul but est d'occuper le terrain et prendre le manche, faute de mieux !!! Cette grave crise que connaît la structure sociale appelle à un peu plus de respect et à la formulation collective de propositions, d'orientations propres à la sortir de l'ornière. Il va sans dire que la force viendra de l'intérieur et non d'une quelconque recherche d'un poste en vue pour se relancer.

Des élections se profilent et nous sommes dans la bonne vieille stratégie du feu PS, occuper le terrain se faire voire... C’est le vieux monde et la ficelle est grosse.

Barbe noire


SO et CL 08/06/2020

Quel vent souffle sur Cognac ?


Extrait CL 08/06/2020
Pas un vent de rupture avec l’ancien monde ! Mais des alliances, des stratégies et l’absence de réponses aux urgences meublent le vide absolu des programmes, dans une pseudo campagne.

Donc, un vent à faire tourner les girouettes, qui ne cessent de médire, de verser dans la prétérition, et de dire tout et son contraire, vont conforter bon nombre d’électeurs à rester chez eux.

La défiance en ces « professionnels » de la politique ne va que s’accentuer...

Voila le nouveau monde qui persiste obstinément dans l'ancien (CL et SO 08/06).

Ces élections municipales  « canada dry » nécessitent une analyse de notre part. Sa lecture déterminera pour nous une position politique loin des arrangements et des calculs.

Ces élections vont encore un peu plus consacrer le fait minoritaire.


Il apparaît en effet qu’un quart des maires élus l’ont été avec 50% d’abstention, plus de 500 n’ont recueillis que 15 % du corps électoral. Le second tour va se dérouler alors que nous y sommes opposés et ce pour justifier le maintien du premier (contrairement aux règles du code électoral) n’y changera rien. La participation montrera l’ampleur du désastre démocratique que les élus du 1er tour et ceux à venir ne veulent pas voir. Peu importe  « le flacon pourvu que l’ont aient l’ivresse » d’être élus.

Des lors quelle légitimité de ces élus, si ce n’est celle du système électif. Nous ne contestons pas la légalité des élections, ni les résultats, nous n'acceptons pas ce mode de scrutin : il est grand temps de passer à la VIème République pour nous situer dans des scrutins majoritaires.

La démocratie s’en trouve fragilisée et se délite. Que devient la souveraineté du peuple citoyen, qui en la circonstance est bafouée ? Ces élus représentent qui et vont œuvrer pour qui ?

Le fait pour le gouvernement et ces élus de cautionner ces élections leur permet de passer en force, par-dessus le rejet populaire. De ce fait, les citoyens refusent de leur déléguer la décision ! Les citoyens ne sont plus que les faire valoir de leurs ambitions personnelles.


Extrait SO 08/06/2020

À Cognac, la campagne insipide, a été d’une tristesse sans nom. L’ensemble des prétendants qui va de :

  • celui qui rêve d'être maire depuis sa plus tendre enfance,
  • à celui qui vit de la politique en hantant le microcosme et en cumulant les mandats,
  • celui, le petit nouveau qui a pris les méthodes des anciens
  • celui, l'ancien socialiste, qui n'est plus et qui copie à droite.
Ces derniers proposent les mêmes recettes (green wasching et crottes de chiens...), la même tambouille politique, loin des trois urgences auxquelles il fallait répondre pour notre territoire : CLIMATIQUES, DÉMOCRATIQUE ET SOCIALE.

Rien par rapport au combat politique que nous menons et des aspirations de changement : nous avons beau chercher nous ne trouvons rien sur le fond qui nous séduise.

Fidèles à nos idéaux, comme pour toutes les élections, nous ne donnons pas de consignes, car chaque citoyen votant ou s’abstenant est amené à constater le vide sidéral des propositions. Nous ne pouvons même pas parler de projet ce qui guidera ces choix à ne pas en douter .

Tati Monsieur Hulot, SL


SO et CL 04/06/2020

Cognac « Damien Bertrand mise sur l’écologie » SO édition du 03/06

Extrait SO 05/06/2020
« Le mariage de la carpe et du lapin», emprunté à Jonathan Muñoz, que l’ont soit pardonné...*

Premier commentaire : on l'a fait ! oui, oui. Il n'est jamais trop tard pour comprendre les enjeux.

Deuxième commentaire : mais à la question cela suffit-il ? Nous répondons non et nous en sommes persuadés. Ils « ont fusillé à droite et à gauche sans oublier la sacro-sainte presse »


Extrait CL 03/06/2020
De fait, sous l’aire macronnienne « les gens ne manquent pas d’air » : stratégie, mensonges, communication, promesses, duperies etc. En effet, et c’est factuel, 325 tonnes de glyphosate ont été vendues en Charente en 2018. Ce qui place notre département au second rang des plus gros consommateurs, juste derrière nos voisins maritimes.

Extrait CL 05/06/2020
ALORS !! SILENCE, on continue. Il en découle donc pour « notre territoire » un fleuve le plus pollué de France. La terre nourricière et l’air que nous respirons sont dans le même état. Chut... pas de vision lumineuse et d’idées innovantes.

Nous n’avons cessé de dénoncer cette situation et voici des décisions à prendre, « de grands diseux », devant l’urgence climatique que nous rencontrons :

  • Le premier adjoint aura pour mandat LA TRANSITION et LA PLANIFICATION ÉCOLOGIQUE
  • Nous inscrirons dans le PLU et le PLUI le développement d’une autre économie : locale, solidaire et non délocalisable... par un aménagement du territoire qui ne grignote pas notre terre nourricière. Mais aussi par une véritable approche environnementale de l’ensemble des actions politiques pour notre territoire.
  • Transformer les parkings imperméabilisés en parkings écologiques (loi ALUR qualité de vie et gestion des eaux pluviales).
  • Exiger pour tous nouveaux projets cette mise en œuvre.
  • Favoriser l’implantation en ville d’un magasin de producteurs locaux
  • Partout où cela est possible, réaliser des trottoirs en herbe.
  • Plan vélo et développement important des pistes cyclables (réduire 1 trottoir sur 2 ?)
  • Plan pluriannuel de passage des bâtiments publics en fonctionnement économes (panneaux solaires, récupération des eaux pluviales, végétalisation)
  • Lutte contre la pollution lumineuse (extinction de l'éclairage public entre 1 h et 6 h)
  • Réaliser 2 parkings de covoiturage (plateforme multi modales, direction Saintes et Angoulême)
  • Approvisionner les cantines en bio et circuits courts
  • Mettre en place une politique d’achat locale et durable.
  • Création d’une ceinture maraîchère bio
  • Achat d’énergie verte
  • Commune sans pesticides et arrêté communal d'interdiction totale des pesticides
  • S’opposer à l’augmentation des droits de panlation des vignes et développer les cultures nourricières respectueuses de l’environnement
  • Accompagner sur l’agglomération les nouvelles formes collectives d’acquisition du foncier agricole pour de la culture maraîchère.
  • Lutter contre l’artificialisation des sols
  • Adhérer au dispositif sur l’agglo Vigi Foncier
  • Création dune régie municipale maraîchère (serres Révico)
  • Créer des zones agricoles protégées

Damien Bertrand « mise sur l’écologie ». Chagrin, j’ajouterais de circonstance et n’en déplaise aux oui oui ..

« Notre point fort c’est l’écologie, c’est notre colonne vertébrale » : ça me dit quelque chose...

Isabelle Pagès : « l’écologie c’est une urgence », tiens tiens …., et pour y répondre elles prone les pistes cyclables et le 30 km/h en ville, oui et c’est une toute petit faiseuse, au regard des pesticides et consort et de l’urgence écologique, non ?

Il nous est donc demandé de croire en cette nouvelle fable que le mariage de la finance du libéralisme et de l’écologie. C’est à minima un oxymore, mais c’est surtout un non sens et pour en mesurer les effets, il n’est qu’à regarder l’état de notre planète et ça c’est toujours factuel.

Moralité

Bientôt notre pauvre carpe* vient à manquer d’eau.

Elle suffoque, (la carpe), l’heure de la retraite à sonné.

Foin d’amours loufoques !

Signé le galopin et répétez après moi 33, 33...


SO et CL 22-23/05/2020

Nous, nous faisons de la politique

n’en déplaise « aux bien pensants »

Extrait CL 22/05
La presse locale s’amuse mais ne se grandit pas en commentant « la campagne s’emballe », « Muñoz fustige le mariage… »

Où est le fond dans tout cela ? comme d’hab’: « crottes de chiens... »

La situation est des plus ridicules et contestable. Elle appelle deux commentaires de notre part.

Le second tour des municipales du 28/06

En ce qui nous concerne, les élections auraient dû être reportées, si le code électoral avait été respecté. Nous nous dirigeons vers deux tours inéquitables. Après la crise sanitaire et avant la crise économique,  on à la confirmation d'une crise démocratique.

Seulement, en MACRONNIE, la stratégie et les intérêts du mouvement LAREM priment sur la démocratie dans ce qui est devenu une démocrature.

Au delà des questions sanitaires premières, se dessine un taux d’abstention record. Alors, quelle légitimité des élus à l'issue d'une consultation tronquée au premier tour et complètement impossible pour ce deuxième tour.

LE MONDE D’HIER NA PAS DE SOUCIS À SE FAIRE...

Extrait CL 23/05
La carpe, le levreau, le lapin et le lièvre

« Mariage de la carpe et du lapin » : NON, il faudra rappeler à Jonathan Muñoz que cette métaphore est un contre sens, nous lui proposons et l’autorisons à copier le « mariage du levreau et du lièvre » (tout le monde sait que la droite reste en famille, sauf les professionnels de la politique aguerries comme Jonathan Muñoz et Michel Gourinchas !)

Rien donc de bien surprenant sur la forme, quand le but est d’être élu à tout prix. Les frères ennemis ne vont pas rééditer les exploits de la droite locale, en 2008, qui, souvenons-nous en, a permis à Gourinchas d’être élu.

Sur le fond, calcul politique d’un jeune sympathique et courtois (les plus dangereux), sans projet alternatif, qui rêve d’être maire depuis tout petit. Cela suffira t-il à la plèbe qui se déplacera ou pas ?

Il laisse entendre que son projet sans ambition ne fera pas l’objet de changement, voire à la marge sur la question du tourisme. En ce qui nous concerne nous pensons que ce n’est pas l’alpha et l’oméga d’un développement économique harmonieux et respectueux et que cela ne répond pas aux besoins de notre territoire.

C’est donc une gestion « rantamplanesque » de droite que nous propose « le futur maire » de Cognac comme le très avisé maire sortant qui, bon prince, le déclamait à la sortie des résultats du premier tour (quel soutien pour son dauphin...).

Extrait SO 22/05
Morgan Berger va pouvoir, au sein de sa « moutonnerie », tenir un rôle de représentation qu’il affectionne et où il démontre en tant qu’amateur un certain talent. Par contre, les enjeux sociétaux* de notre territoire (agglo) ne seront pas pris en compte et sont d’ailleurs passés sous silence.

Monsieur le dauphin (divers gauche) « qui ne fait flipper personne par son manque d’enthousiasme  », vous semblez content que le débat soit enfin un débat droite-gôche. Faut-il ici rappeler que les socialistes ne sont plus de gauche (CICE, loi 'elconnerie', casse de l’hôpital public, loi LRU, loi Macron ministre des finances, etc..) ? Par ailleurs, cette référence bien timidement énoncée et sans oriflamme lors de vos campagnes ne se déclame pas, elle se vérifie dans un projet politique de rupture avec celui porté par les élus et notables sortants, ceux de l’ancien monde qui ont déjà été en responsabilité.


Extrait SO 23/05
Enfin un début de prise de conscience plus que tardif avec la crise du COVID 19 et qui justifie de recalibrer votre projet et de parler d’urgence sociale démocratique et de transition (tiens, tiens...). Notre Territoire en commun, n'a pas eu à recalibrer son programme, le 11 avril, pour la bonne raison que les mesures à prendre en découlaient directement !

Si votre projet sans ambition politique de refaire les halles de Cognac et autres avait mis l’accent sur les URGENCES sociales, démocratiques et climatiques  *, vous ne seriez pas à la recherche d’un second souffle en essayant de ramener à vous les électeurs abstentionnistes qui ne veulent toujours pas d'un professionnel de la politique qui ne sait plus où il habite  !

Avant d'en finir, qu'il nous soit permis de faire remarquer, sans chercher la petite bête, le silence assourdissant des prétendants au trône pour ce second tour durant toute cette crise ! Pour notre part, nous avons édité des propositions à décliner localement.

Puisque vous affectionnez les métaphores, nous vous proposons celle-ci pour conclure ce billet d’humeur : « La politique ne réussit que par la duplicité  » (En attendant le vote des bêtes sauvages (1994) de Ahmadou Kourouma)

* URGENCE Climatique, Sociale, Démocratique que nous portions et qui se font jour avec une plus grande acuité, en ces temps de pandémie.

Le Comité de Pilotage


SO 18/05/2020

Bonne pioche ! Piochez encore...
PLUS  JAMAIS ÇA !

Extrait SO 18/10/2020
En toute simplicité, il nous semble nécessaire, à l'occasion de l'ouverture d'un magasin de producteurs (C Fermier) sur la commune de Châteaubernard (82 avenue d'Angoulême), d'exprimer notre satisfaction devant cette initiative privée qui respecte la production locale et les saisonnalités. En effet, faut-il le rappeler, en 2014 et 2019 nous préconisons l'ouverture de ce type de magasin !

Il a donc fallu attendre 6 ans. Prochainement vous verrez  les élus de notre territoire ou les prétendants se convertir au vert rose, bleu, blanc  à la lecture de la crise sanitaire, alors qu'ils n'ont pas proposé leur service au maire sortant ni édité des propositions pour y faire face. Faut-il rappeler qu'ils n'ont pas été à même de mettre en œuvre ou de proposer un programme de rupture à la gestion communale "ramtanplantesque" ! Cependant ils affirmeront, non sans vergogne, l'absolue nécessité  d'apporter des réponses devant concourir à l'avènement d'un soi-disant nouveau monde. À cet effet, ils piocheront quelques modestes idées ailleurs, n'ayant pas cette fibre comme composante de leurs ADN politique. 

Ils vont donc se métamorphoser, par mimétisme forcé, en chantres de la transition écologique et vont déclamer avec force et fracas.


Malheureusement à  y voir de plus près, le green washing ne cessera pas, mais si d'aventure ils désirent mettre leurs actes en concordance avec leurs paroles qu'ils piochent, qu'ils piochent encore dans notre projet municipal [ceinture maraîchère, jardins partagés, arbres fruitiers, non imperméabilisation des sols, interdiction des pesticides, créer des ZAP (Zones Agricoles Protégées), accompagner sur l’agglomération les nouvelles formes collectives d’acquisition du foncier agricole pour de la culture maraîchère, etc...]

Pour conclure, un clin d’œil

Nous vous conseillons   Yves Jamait :

Y en à qui s'ront jamais dans la merde

Y en a qu'auront jamais de problèmes

Et ce sont souvent ceux-là même qui nous dirigent ou qui  aspirent à nous gouverner.

Ils ont le cumul sympathique de maire et député

Ils ont la morale cathodique etc...

Combien de temps encore va t'on se laisser faire

Combien de temps encore sans rien faire etc...


Le Comité de Pilotage

SO 18/05/2020
Pas un rond de plus pour l'ovalie !

Extrait SO 18/05/2020

Nous apprenons que Christophe Hamacek (entraîneur de l'US Rugby) nous quitte. J'en suis attristé en tant que supporter. Que nous dit-il ? Et là, c'est le citoyen qui prend le pas en faisant de la politique.

Le club manque "d'engouement, de soutien et des financements nécessaires pour jouer au stade supérieur " qu'il s'empresse de rejoindre (Rouen joue en Pro D2). Ce qui sous tend que le manque d'argent, puisque le club est "assis sur une mine d'or" (maisons de négoce), qu'il faille revenir sur la loi Évin pour permettre un financement.

En ce qui nous concerne, ne touchons pas à la loi Évin et par ailleurs le club doit continuer à évoluer dans la division actuelle. Donc cela ne nécessitera pas d'investir dans un nouveau stade, messieurs les élus ! Plus de projet faramineux tels que les Halles de Cognac... mais comme nous le préconisons encore des investissements et du fonctionnement prenant systématiquement en compte L' URGENCE climatique, sociale et démocratique.

Un supporter clairvoyant

CL 13/05/2020

Votre avis compte... pour faire joli !

Extrait CL du 13/05/2020 (cliquer pour lire)


Les habitants de Gand Cognac, invités à se prononcer sur le PCAET déjà VALIDÉ par les élus. Circulez, il n'y a rien à voir ! En effet, toutes les conditions sont réunies pour que les habitants de notre territoire passent à côté de cette consultation pourtant essentielle pour notre territoire. Il y a duperie et tromperie !

Une consultation courte dans le temps (fin le 4 juin ou le 17 juillet, suivant les versions...), seulement par internet, un contenu abscons et technocratique : qui est au courant de ce machin ? Quelles infos en amont ? La forme et les conditions confirment le « déni de démocratie ».

Nous avons déjà fait un billet sur ce sujet pour alerter sur cette mascarade. Nous préconisions, entre autre un questionnaire en ligne pour recueillir l'avis des citoyens. Surprise, concours de circonstances, un questionnaire, à l'initiative du Conseil de Développement, a été ajouté depuis sur la page et la possibilité est donnée de répondre à des items. C'est toujours mieux pour le dépouillement que des avis envoyés par courriel comme envisagé au départ... Par contre, navré de ce contre , mais il est demandé de répondre par OUI ou NON aux items qui tous sont essentiels ! De plus un second questionnaire attend le citoyen pour encore répondre à une foultitude de propositions qui renvoient à des fiches techniques toujours aussi indéchiffrables... Bref, un temps fou à passer qui garantit un minimum de réponses ! Bravo pour avoir essayé, mais nous sommes obligés de dire que notre avis de citoyen, c'est bien pour faire joli.

Dans cet article nous sommes rejoints par le Conseil de Développement qui semble porter les mêmes inquiétudes. Ce dernier précise « ce PCAET ne sera une réussite que si la volonté citoyenne rejoint la volonté politique ».

À notre avis ce sera une réussite si la volonté citoyenne est rejointe par la volonté politique.

Sinon, dans le premier cas, il est inutile de consulter les citoyens, si c’est pour valider le choix des élus ! Donc, tout est fait effectivement pour que le choix des élus ne puissent être revisité, voire contesté.

Le Conseil de Développement confirme que la consultation effective des citoyens n’est pas souhaitée. Il en arrive à proposer des fiches accessibles et ne seront satisfaits que si le cap des 100 réponses est atteint et ce en prenant Nice, duché estrosien, qui est le berceau de la défiance à l’endroit des citoyens comme exemple. Pour rappel, la communauté d’agglo c’est 69 775 citoyens

MORALITÉ : LE MONDE D'APRÈS C'EST LE MONDE D'HIER. À voir avec quelle légèreté blâmable sont traités les citoyens, une fois qu’ils ont voté, au delà des promesses qui sont dévoyées et vidées de leur substance : PLUS JAMAIS CELA !


CL 04/05/2020


Point trop n’en faut des « élus d’expérience »

Charente Libre 04/05/2020
Des élus avec de l’expérience, nous voyons où cela nous mène : à une gestion du territoire dans la droite ligne de la politique nationale.

Marianne oublie-t-elle qu’en 2008 elle n’avait aucune expérience d’élue et cela l'a-t-elle empêchée de faire les choix politiques qu’elle a faits ?

Élus d’expérience pour reproduire les mêmes schémas de fonctionnement et d’interventions et faire des erreurs !!!.

Dans le cadre du CDSP (Comité de Défense du Service Public), nous avons soulevé l’illégalité (art 3.6) du règlement adressé par AGUR, dans le cadre d’une DSP (Délégation de Service Public), que nous avons combattue (Le règlement Grand Cognac prévoyant une coupure d’eau est illégal). Ce règlement a pourtant été validé par des élus d’expérience : c’est grave !

Pendant cette crise du COVID-19 (et non une guerre), silence radio des élus d’expérience et des prétendants au fauteuil de maire de COGNAC et président de L’ AGGLO !

Avec peu d’expérience mais de la réflexion collective et en cette période difficile, nous avons publié deux billets politiques pour apporter notre contribution au débat de territoire qui en la circonstance na pas eu lieu ?!


Il est grand temps que ça se bouge !

Un exemple de proposition :

- Nous avons fait des propositions. L'une d’entre elles concerne le portage à domicile des ouvrages des bibliothèques et miracle, dernièrement, alors que nous sommes en « pénitence » depuis le 16 mars l’agglo le propose ENFIN : BIEN !

- Nous découvrons que c’est dans les maisons de quartier que la distribution des masques gratuits se fera : BIEN ! Nous proposons que le CCAS porte à domicile, aux personnes âgées et à mobilité réduite, ces masques.

Rentrée ou pas rentrée ?

Dans ce domaine, nos propositions ne trouvent pas d'écho et silence total à Cognac comme sur l'Agglo jusqu'au 6 mai, alors que la date fatidique du déconfinement approche. À l'exception de l'organisation de la rentrée du 11 mai. Sur le site de la ville on découvre un simple rappel très résumé des dispositions nationales dont le dernier point précise « Accueil de tous les enfants sous réserve que la superficie et le nombre d’espaces d’accueil soient suffisants pour appliquer, en fonction du nombre d’enfants présents, les mesures de prévention sanitaire (distance physique d’1 m entre chaque enfant) ». À noter que rien n'est prévu à cette date pour la restauration scolaire, sinon l'affirmation par le maire qu'un repas chaud est souhaitable. Autrement dit service minimum qui confirme bien que le « maire prolongé » de Cognac ne fait pas partie de ceux, très nombreux sur l'ensemble du pays, qui prennent leurs responsabilités et ferment des écoles, faute de pouvoir garantir une rentrée sécurisée. Il faut croire qu'à Cognac, tout va très bien... Quelles sont les classes qui vont reprendre ? Au moment où nous écrivons (06/05), le site de la ville de Cognac fait état de la tournée d'inspection et de l'alerte des enseignants de maternelle petite et moyenne section. Les dispositions pratiques sont prises et publiées.

Donc de l’expérience pour les sortants, mais comme pour les prétendants futurs ou avérés, sans idées, comme l'a démontré prosaïquement leur campagne pour Cognac et l’agglo, au raz des herbes folles, du devenir du marché couvert, de ce qui constitue l'obligation des services communaux, etc...

Sans expérience, pour certains d’entre nous, nous nous étions déjà inscrits depuis 2014 pour une autre gouvernance, par un changement radical des pratiques et des choix politiques pour notre territoire. Nous proposions déjà un « autre monde »

Malheureusement, nous pensons fortement que le monde d’après auquel les citoyens aspirent, avec des élus d’expériences soit le même enrobé de forfaitures, faute de travailler d'ores et déjà au monde de maintenant !

Pour illustrer nos propos : la presse locale s'en fait l’écho : « l’épandage divise en plein confinement » ( SO du 04/05) avec pour conséquence incontestable la pollution de l’air, des sols de la Charente et de la nappe phréatique. RIEN NE CHANGE ! Par exemple, nous avions annoncé notre attitude quant à la qualité de l'eau qui n'est pas bonne et où nous affirmons interdire l'eau du robinet comme boisson, si la qualité ne répond pas aux normes  : « 20 M€ pour améliorer la qualité de l’eau »

À la lecture des événements et de l’immobilisme dont font preuve les élus en place ou à venir, le conseil constitutionnel s'honorerait en ne cédant pas aux sirènes macroniennes et en annulant les élections. Dès lors, nous ferions tout pour présenter une liste de citoyens sans expérience élective si ce n’est celle de la vie ! Pour faire court, l'objectif est de promouvoir un nouveau paradigme, où la peur étatique n’existerait pas, où les libertés individuelles seraient respectées ainsi que notre terre nourricière.

Ce que nous vivons avec le COVID-19 démontre l’impérieuse nécessité, d’une bifurcation des politiques à mener pour notre territoire dans le cadre d’une planification, au regard de trois urgences que nous n’avons cessé de mettre en avant et qui plus que jamais sont pertinentes :

URGENCE CLIMATIQUE, DÉMOCRATIQUE, SOCIALE

CL 22/04/2020

Agglo : Le Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET)
CL du 22/04/2020
Les faits nous donnent raison en ce qui concerne l’urgence démocratique. Il est plus que nécessaire d’en revoir, d'en bouleverser ses déclinaisons issues de l’ancien monde .


En effet il va y avoir, en catimini, du 04 mai au 04 juin, une consultation en ligne des citoyens de notre territoire en ce qui concerne le Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET) et ce en plein désarroi de la population du fait de la pandémie du Covid-19. Procédé pitoyable : qui va être au courant de cette consultation et pourquoi sur une période aussi courte, alors qu'elle est seulement mise en œuvre par l'Agglo « depuis le printemps 2018 » ? Deux ans perdus !

Tel que cela se présente ce n’est pas une consultation, mais sous ce faux prétexte, il s’agit tout bonnement d’avaliser les propositions de Enedis (curieux) et de l’ATMO composé de quatre collèges dont un censé représenter les associations de protection de l’environnement et des consommateurs. Vous en devinez et mesurez d’ici son poids politique face au lobby économique...

Le SCOT avait été travaillé et mis en œuvre bien avant le PCAET puisque ce dernier existe depuis 2016 (ADEME) ce qui nous permet de mesurer la formidable efficacité de tous ces machins ! (boutade)


Le PCAET un « un outil de planification qui a pour but d’atténuer le changement climatique, de développer les énergies renouvelables et de maîtriser la consommation d’énergie »


Planification : politiquement ça nous parle et nous proposions d’ailleurs, au regard des enjeux, que notre « premier adjoint aura pourmandat LA TRANSITION et LA PLANIFICATION ÉCOLOGIQUE ». Cela démontrait notre engagement à répondre à cette urgence climatique.


Nous proposions, et sans l’aval de ce machin (PCAET), des mesures de bon sens et des choix politiques pour nous diriger vers une sobriété heureuse répondant à ces enjeux incontournables et pourtant abordés de façon si superficielle lors de la campagne municipale et agglo de mars.


En ce qui nous concerne, au delà des herbes folles et des crottes de chiens, point d’investissement pour le marché couvert, le nouveau stade de rugby etc… Mais nous proposions, par exemple :

      • Plan pluriannuel de passage des bâtiments publics en fonctionnement économes (panneaux solaires, récupération des eaux pluviales, végétalisation). Mesure prévue depuis 2014.
      • Végétalisation de tous les supports publics (par exemple : toit et abris bus)
      • Transformer les parkings imperméabilisés en parkings écologiques (loi ALUR qualité de vie et gestion des eaux pluviales)
      • Lutter contre l’artificialisation des sols
      • Commune sans pesticides et arrêté communal d'interdiction totale des pesticides
      • Lutte contre la pollution lumineuse (extinction de l'éclairage public entre 1 h et 6 h)
      • Approvisionner les cantines en bio et circuits courts
      • Création d’une ceinture maraîchère bio
      • Accompagner sur l’agglomération les nouvelles formes collectives d’acquisition du foncier agricole pour de la culture maraîchère
      • Création dune régie municipale maraîchère (serres Révico)
      • Créer des zones agricoles protégées
      • Favoriser l’implantation en ville d’un magasin de producteurs locaux
      • Mise sous alimentation solaire des panneaux d'information
      • Mise en place de compostage partagé dans les cités et lotissement
      • Au niveau de l'agglo planifier le renouvellement du parc des bus : achat de bus à hydrogène
      • Plan vélo et développement important des pistes cyclables (réduire 1 trottoir sur 2 ?)
      • Mettre en place une Zone Agricole Protégée (ZAP)
      • Gratuité d'usage des transports

Propositions extraites de « Une Commune et un Territoire mobilisés pourla bifurcation écologique », premier des 5 axes de notre programme

Il nous paraît très important de remettre cette question dans le débat car, comme nous le disons d'emblée, le PCAET est d'ores et déjà voué à une audience confidentielle au niveau des citoyens, dans cette période où l'actualité est tout entière monopolisée par la pandémie du COVID-19. Cette audience sera d'autant plus restreinte que lorsque l'on ouvre le document de référence (c'est un fichierpdf), le lecteur est assailli, dès la page 2, par un déluge de sigles dont on ne trouve nulle part la signification. C'est tellement abscons qu'il faut avoir l'idée et la volonté d'aller fouiller sur le site de l'ADEME pour trouver un glossaire dans un document tiré à 3000 exemplaires et qui est destiné aux élus ! Et cela ne suffit pas, car des sigles du genre TEPCV ne livrent leur secret qu'en allant chercher avec un moteur de recherche pour trouver : Territoire à Énergie Positive pour la Croissance Verte. Allez, on ferme le ban, la consultation est terminée ou sabotée, selon le degré de franchise !


Ce qui est grave, outre que, de fait, on exclu les citoyens de ces enjeux fondamentaux, c'est que l'ATMO Nouvelle Aquitaine, par exemple, partie prenante du dossier dispose d'un budget annuel confortable de plus de 5 M €. Combien a-t-on déjà dépensé dans cette aventure cache sexe ? Quelles sont les propositions qui ont été mises en débat et quelle concrétisation ? On peut toujours chercher...


Dernière minute !

Alors que nous relisons ce billet et contrôlons les informations et les sources, le samedi 25 avril, nous tombons sur la publication de la consultation du public du 4 mai au 4 juin. Sur cette page vous aurez accès à la liste des 5 documents suivants :

C'est seulement après lecture de ces pdf que le citoyen lambda pourra se prononcer en postant son courriel à l'adresse :
amandine.violet@grand-cognac.fr
À l'exception du coût de toutes les études, vous y trouverez les propositions, en admettant que vous êtes arrivés au bout de ce parcourt imposé, faute d'un seul article de synthèse !

De notre point de vue, s'il y a lieu d'avoir accès aux 5 pdf  d'une façon exhaustive, il était indispensable de publier un texte de synthèse sur les propositions, rédigé simplement, sans langage techno et exempt des acronymes qui ne peuvent être expliqués qu'en dernière page ! Il était si simple d'avoir recourt aux notes de bas de page... En fin de texte un lien qui renvoie sur un questionnaire en ligne, aurait évité l'expédition d'un courriel et aurait surtout permis des données exploitables et publiables !

La différence, c'est que pour nous cette étape de vraie consultation n'est pas un prétexte à « avoir fait et on passe à autre chose... », mais au contraire, un passage obligé si l'on veut, y compris intégrer, après discussion, les suggestions des citoyens. Il est vrai que l'on ne joue pas dans la même cour !

La preuve est faite une fois de plus que plutôt que de travailler sur des solutions de bon sens en étroite collaboration avec les citoyens, comme nous l'avons modestement fait, sans aucun moyens, les technos, les politiques sont prêts à dépenser NOS deniers publics pour sauver les apparences et faire semblant de se verdir.


Il faudra bien que de tels comportements soient sanctionnés par le peuple et nous y contribuons !

CL 14/04/2020
 
« Répondre aux urgences économiques »

Voilà la seule urgence à laquelle il est primordial de répondre pour les élus Cognaçais et son président en tête. Pourtant, aujourd’hui ce sont bien « les premiers de CORVÉES » et non « les premiers de CORDÉES » qui sont sur le front. Et pourtant il est déclamé partout que nous allons changer de paradigme : MENSONGE ! Plus jamais ça !

Ajouter une légendeExtraits CL 14/04/2020 (cliquez pour lire)

CL 11/04/2020

Coronavirus - Intelligence Collective - ACTIONS

Extrait CL 11/04/2020
Dans notre programme politique pour les municipales, nos propositions répondaient prioritairement à trois urgences : Climatique – Sociale - Démocratique.

Cette pandémie à laquelle nous sommes confrontés, se télescope et donne du corps à notre volonté de faire de la politique autrement, et de ne pas se laisser enfermer dans une approche purement gestionnaire, « à la petite semaine ».

Notre démarche résolument tournée vers un changement de paradigme, en proposant des solutions et un nouveau mode de gouvernance, fait écho encore plus aujourd’hui aux questions que soulèvent cette pandémie.

En la circonstance, si nous étions en responsabilité, nous procéderions de la sorte. Nous nous efforcerions de répondre prioritairement à deux urgences qui se font encore plus criante en ces temps de confinement. 


Urgence sociale et démocratique

Urgence démocratique :

Nous mettrions en place une cellule de crise COVID 19 sur notre territoire une à COGNAC et une au sein de l’AGGLO.

Cette cellule serait composée de  4 groupes.

  1. Santé
  2. Sociale
  3. Communication
  4. Économique
Ces groupes composés de citoyens, d’élus, de professionnels, d’institutions... auraient pour fonction, au regard de leur intitulé et de leur champ de compétence :
  • d’écouter prioritairement nos administrés
  • de fédérer toutes les bonnes volontés et de ne pas rester spectateur
  • de recenser les besoins et difficultés, de les hiérarchiser
  • de faire des propositions, de co-construire les réponses à mettre en œuvre
  • de faire un point et d’informer régulièrement la population de la situation, et des possibles
Urgence sociale : 

Les plus fragiles, précaires, et personnes isolées vont être les premiers à être impactés par le confinement et notre attention doit se tourner prioritairement vers eux et vers l’ensemble du personnel soignant de notre territoire.
Quelques propositions la tout de suite
  • Les indemnités diverses perçues par les élus de l'Agglo et de la commune, pour la période mars-décembre 2020), seraient reversées en direction des personnes les plus fragiles.
  • Ouverture d’un site pour recenser les initiatives locales
  • Aucun fonctionnaire ne travaille sans équipements de protection sur notre territoire
  • Gratuité des transports
  • Gratuité du stationnement
  • Gratuité des terrasses pendant trois mois jusqu'à la reprise d’activité
  • Mise en place d’un portage à domicile pour les personnes les plus vulnérables
  • Portage à domicile du fond de la bibliothèque
  • Étude pour la mise en place de l'ouverture sur le territoire, en collaboration avec l’hôpital, les médecins, l’ARS au sein d’un gymnase d’un lieu d’examen clinique COVID 19 (Cognac, Jarnac, Châteauneuf, Segonzac)
  • Rondes de la police municipale pour informer conseiller rassurer
  • Ouverture d’un N° vert COVID 19 AGGLO
  • Points relais d’écoute, de bienveillance, d’échange et d’entraide dans chaque maison de quartier avec un élu et des conseillers de quartier bénévoles
  • Ouvrir une classe par école primaire, si besoin, pour accueillir les enfants de parents n’ayant ni internet ni le savoir nécessaire pour dispenser l’enseignement scolaire
  • Favoriser et développer la vente de denrées alimentaires locales avec gratuité de l’emplacement et en multipliant les lieux
  • Un point journalier sur la situation de l'hôpital de Cognac Châteauneuf et des EPHAD publics et privés accessibles aux citoyens ainsi que sur les institutions qui accueillent des enfants et adultes handicapés.
  • Avec les associations caritatives et le CCAS augmenter et coordonner les secours élémentaires de subsistances au plus nécessiteux. 
  • En liaison avec les structures adéquates (professionnels et structures concernées), mise en place d'une cellule d'écoute et de soutien psychologique : Mairie et Agglo.
  • Dans le cadre des DSP contrôler et exiger la mise en place des gestes barrières et des équipements (Calitom, Agur, etc...).
  • Ouvrir un lieu (terrain de camping) pour accueillir et suivre les SDF et personnes résidents en camping car cette population est plus fragilisée que d'autres.
Rappel des chiffres sur les difficultés sociales à Cognac
      • 24,4% des enfants vivent dans une famille sans actif occupé (13,7% pour la Charente)
      • 26,3% des personnes vivent seules
      • 40,7% des citoyens entre 31 et 40 ans ont le sentiment d’être isolés. De même 25% pour les seniors.
      • le taux de chômage est de 17,4%
      • 1/3 des moins de 30 ans vit en dessous du seuil de pauvreté
      • 2/3 des 25 ans se voient partis de Cognac dans les 5 ans
      • taux de pauvreté à Cognac : 18,3%
      • 40% des gens ne pratiquent aucune activité

Ces propositions sans prétentions ont pour objectif de démontrer notre volonté de faire, dans la concertation, afin d’apporter des réponses et continuer à nous inscrire dans une approche réaliste et répondant prioritairement aux urgences du temps présent pour un futur radieux.

CL 06/04/2020
Et si ?...


Extrait CL 06/04/2020
... On repartait en septembre ? Cette question que se pose le maire de Cognac sortant, feignant l'humour, le Comité de  Pilotage constitué pour les élections du Cognaçais se la pose très sérieusement.


En effet, si tout est repris à zéro dans les 5000 communes environ qui avaient un second tour, on peut, en analysant les derniers événements, espérer que les candidatures qui nous manquaient pour Mars pourraient peut-être éclore, à la lumière de l'analyse politique du moment et des interrogations qu'elles suscitent. 

Notre liste a fait un programme très politique, remettant en cause le capitalisme et les professionnels de la politique, cause de tous nos tourments, sans doute le plus politique de toutes les listes en lice à Cognac.

Succinctement, pour rappel, nous avons, au-delà des questions du quotidien qui devaient être abordées, bien mis en évidence le poids politique pour notre territoire de l'agglo.

Nous avons par ailleurs affirmé avec force que nos priorités et choix s'articuleraient autour des trois urgences : CLIMATIQUE, SOCIALE et DÉMOCRATIQUE.

Notre programme n'était pas dicté par une quelconque stratégie, mais par la nécessité de sortir d'une simple gestion pour mettre en œuvre les politiques devant répondre à ces trois urgences.

Son contenu en phase, en termes de propositions, avec cette crise démontre toute sa pertinence et  va peut-être susciter de nouvelles adhésions. C'est du moins tout ce que nous souhaitons. En attendant, unissons nos forces pour vaincre le COVID-19 !



LE COMITÉ DE PILOTAGE
 
SO 26/03/2020

Selon que vous habitiez au centre ou dans les quartiers...


Proximité, saisonnalité, vente directe, lien social : tout est COURCIRCUITÉ par le maire. Laisser  ouverts ou pas  des marchés de plein vent ? La question peut avoir des réponses à direction variable, selon le vent... 

So 26/03 (cliquer pour lire)
Pour la halle de centre ville (marché couvert), le maire de Cognac, encore en fonction, met les moyens en police pour contrôler le respect des règles sanitaires. Pour les marchés de Saint Jacques et du Champ de Foire, le vent a subitement changé : pas de moyens de police en nombre suffisant ! « Cognac Cœur de ville » a sans doute frappé...

M. Gourinchas, le maire encore en fonction mais plus de gauche, démontre  une fois de  plus sa fibre environnementaliste et son incapacité à faire des choix politiques pour répondre à l’urgence climatique et sociale auxquelles nous sommes confrontés ! Il a fallu la pression populaire pour qu'il envisage seulement de commencer à reculer... (voir article ci-dessous)

Notre programme pour les municipales préconise avec force la planification et la transition écologique (ceinture maraîchère, cantines bio, circuits courts, ZAP etc...). Le billet de Yan (ci-dessous) nous a bien confirmé que jamais nous n'aurions pris pareille décision !

La bourse ou la vie…

« Il va falloir choisir si vous préférez mourir de faim ou du virus ! »
Le mot du PDG de Derichebourg, sous-traitant d'Airbus paraît maintenant prémonitoire.
Fermer les marchés de plein vent, voilà leur dernière idée. Leur dernière drôle d'idée.
Comme on a fait fermer les librairies de quartier et fait flamber par contre-coup les commandes d'Amazon, va-t-on aussi décimer les paysans en ne laissant qu'aux grandes surfaces le privilège d'approvisionner les populations confinées ?À chaque guerre, il y a ses profiteurs de guerre. À toute crise, ses profiteurs de crise.


En 2008, lorsque l'économie s'est effondrée sous le poids des emprunts toxiques et des prêts hypothécaires, des nuées de vautours ont fondu sur les maisons des ménages américains qui ne pouvaient plus payer. Comme sur des petits fours. Ensuite, le tour de l'Espagne est venu.
Puis la pandémie financière s'est répandue.
Un krach ? Mais quel krach ? Une mauvaise nouvelle ? Jamais. Quand la bourse a dégringolé à partir du début du mois de mars, Agnès Pannier Runacher, secrétaire d'état du Ministère de l'Économie et des Finances, a accouru sur les plateaux pour expliquer qu'une crise, c'est surtout le moment de se montrer opportuniste :
« On va très vite en besogne. Aujourd'hui on a un système financier qui est beaucoup plus solide que pendant la crise de 2008. Les banques sont plus solides qu'en 2008. Le suivi des banques a été renforcé. [La baisse incombe surtout aux robots] qui passent de manière automatique des ordres d'achat et de vente. Je regarde avec une certaine circonspection la situation. C'est plutôt le moment de faire des bonnes affaires en bourse aujourd'hui. Les fondamentaux des entreprises restent solides. On a créé 700 000 emplois. Notre croissance est la plus forte de celles des pays d'Europe de l'Ouest. On rentre dans cet épisode de coronavirus avec des fondamentaux extrêmement solides ». Elle appelle ensuite les consommateurs à bien saisir sur Signal Conso la commission de la répression des fraudes et de la concurrence s'ils repèrent des produits à des prix excessifs et assène avec l'aplomb d'un fil de maçon que « le risque de rupture d'approvisionnement n'existe pas ».
En somme, le papier toilette ne flambera pas. Le papier toilette ne manquera pas. Voilà le message !
Comme le reste de son gouvernement, la diplômée de Science Po, HEC, l'ENA, ex inspectrice des finances, ex directrice de cabinet du DG de l'AP-HP, ex directrice adjointe du CDC chargée de stratégie et des finances et du suivi des participations stratégiques de l’État dans les groupes Accor, Veolia, Eiffage, Dexia, CNP assurances, etc. a fait le job !

La bourse est en train de plonger de manière monumentale. Le 26 février, l'indice CAC 40 est à 5750 points, le 4 mars à 5400, le 10 mars (quand elle s'exprime) à 4678 points. Le lendemain, la veille de l'allocution de Macron elle tombe à 4000 points. Le job est fait.
On comprend mieux pourquoi le président a continué d'aller au théâtre alors que l'épidémie se propageait, pourquoi jusqu'à la dernière extrémité, il a laissé le regard des français rivé sur la tenue ou non des élections locales. Pendant que les gros requins lâchaient leurs actions – des prises de bénéfices habituelles pour un début d'année – le petit plancton, lui, regardait l'anémone.
L'indice CAC 40 a perdu plus du tiers de sa valeur en moins d'un mois. Aux États-Unis, le même phénomène a eu lieu et les langues commencent à se délier. En quelques semaines, comme on peut le lire dans Courrier International, les présidents des grandes sociétés américaines – Jeff Bezos en tête – se sont séparés de près de 10 milliards de dollars de leurs propres actions, s'épargnant ainsi une perte potentielle d'au moins 2 milliards. Et quelques sénateurs américains ont été identifiés comme ayant fait de même.
Mais on ne fermera pas la bourse, on ne contraindra pas les marchés.
On ne fermera que les marchés de plein vent. Ceux où les petits producteurs écoulent leurs fruits et légumes. C'est une décision du premier ministre applicable dès ce midi.

On a trouvé ça et là quelques étals trop fréquentés pour servir de lampistes.
Comme si dans l'espace clos des supermarchés et des hypermarchés, la distanciation sociale était mieux contrôlée. Comme si personne ne faisait demi-tour, ne reposait les denrées, n'errait d'un rayonnage à l'autre. Non, l'anarchie, c'est bien connu, c'est la vie sauvage, la vie en liberté, la gouaille des maraîchers, la blague lancée entre le radis et le chou fleur
Se faisant, alors même qu'au travers des points de distribution itinérants, à la ferme ou sur des marchés espacés et réorganisés, des initiatives se mettent en place dans le strict respect de toutes les recommandations … on va priver les producteurs locaux de débouchés. Aucune analyse sérieuse des risques, juste des stéréotypes et des représentations diffuses jamais interrogées : le marché, lieu de tous les dangers, terreau d'infection, où le client débonnaire, rétif à l'ordre et à l'hygiène, achète du pangolin de contrebande grillé et où les chauves-souris défèquent, comme à Wuhan, sur les éventaires de fruits de mer, précipitant le village monde aseptisé dans l'angoisse généralisée.
Un conte bon marché, au lieu de réflexions posées, voilà les cultures vivrières abandonnées.
Rien de proposé non plus pour compenser les pertes. L’asphyxie menace l'activité des campagnes.
Comble du comble, cette autonomie qu'on étrangle s'accompagne d'effets d'annonce insensés. Didier Guillaume, le Ministre de l'Agriculture demande aux français qui n'ont plus d'activité de partir travailler dans les champs, montrant ainsi la méconnaissance qu'il a de la technicité de ces métiers.

La décision du premier ministre de supprimer de manière unilatérale les marchés de plein vent sur l'ensemble du territoire est inadaptée à la situation et potentiellement dangereuse.
Quelques maires courageux ont pourtant le choix de déroger. Encore faudrait-il qu'ils comprennent à quel point, en temps de crise, rien n'est plus précieux que la sécurité sociale alimentaire, les circuits-courts, l'autonomie, la capacité à nourrir de proche en proche.
Il y a urgence à ce que l'un d'entre eux montre l'exemple et comme Agnès Pannier-Runacher s'exclame : « On va trop vite en besogne, je regarde tout ça avec la plus grande circonspection »

À moyen terme, il faudrait s'assurer que plus personne ne meurt ni du virus, ni même de faim.
Yann Faure (Lyon)




CL 04/03/2020

Ils feraient mieux de se taire, c'est pas la faute à Voltaire !
« L'ignorance, la sottise et la lâcheté, les trois plus redoutables ennemies du genre humain » Arsène Bessette
Extraits de CL du 04/03/2020 (cliquer pour lire)

Comme en 2014 une liste composée de  fantômes et de personnes peu recommandables qui, une fois le deuxième de la liste se désistant, ne verront aucun des 31 autres  siéger !

Fantômes et « pauvres gens » qui dans leur misère sociale ou affective, n’ont pour seul horizon que de cracher ou injurier ceux et celles qu’ils désignent comme étant responsables de leurs propres turpitudes et de leurs mauvaises conditions de vie. Ils sont au RN qui :
  • ne propose Rien
  • démontre tous les jours la Nullité de ses engagements ou promesses en direction du lumpen prolétariat puisqu’ils sont historiquement du côté du capitalisme.
Cette tromperie, au delà d’une liste relevant du caniveau (et ce n’est pas la faute à Rousseau), elle trouve son origine dans les politiques menées depuis 30 ans et dans cette pauvreté et précariat sur notre territoire  (24,4% des enfants vivent dans une famille sans actif occupé - taux de pauvreté à Cognac : 18,3% - 1/3 des moins de 30 ans vit en dessous du seuil de pauvreté - taux de chômage est de 17,4%) et qui n’a été abordé par aucune liste, sauf la nôtre avec l'urgence sociale, pour les élections à venir.

La solution, dès lors,  pour ces « primates » arriérés, c’est de voter pour la peste afin d'éradiquer les responsables politiques et « l’Étranger » qui sont la source de tous leurs « mots ».

Pour toutes ces ignominies nous leur attribuons :  []

CL 03/03/2020
Réponse au "piéton" d'un bipède cérébré

CL édition du 02/03/2020
Ce bipède doit boiter et n'a certainement pas pris connaissance du programme et de la démarche de Notre Territoire en Commun.
Cette liste n'a cessé de fustiger l'approche journalistique de cette campagne qui consistait à ne pas évoquer les questions de fond et éminemment politiques. 
Un choix journalistique semble-t-il pour satisfaire un électorat préoccupé principalement par les questions de sécurité et les crottes de chien. Pourtant, Notre Territoire en Commun abordait prioritairement et principalement les questions de fond, par le biais des 3 urgences : climatique, sociale et démocratique.

Un bipède à deux hémisphères



SO 24/02/2020


Partiel ou partial : ça peut jouer des tours...

Certains droits réservés fourthandfifteen
Extraits SO 24/02/2020 (cliquer pour lire)
L'article de l'édition du 24/02/2020 de Sud Ouest de ce jour appelle de notre part quelques observations ou/et interrogations.
  1. En pleine campagne pour les municipales, hormis une référence à la municipalité en place, aucun avis des candidats, sinon une assertion évoquée au point 3.
  2. Depuis 2014, nous avançons des propositions dans ce domaine, y compris en défendant l'idée d'un chantier d'insertion.
  3. Deux pages pleines, dans ce moment politique important et pas un mot sur les propositions d'où qu'elles viennent, à l'exception de cette assertion « L’idée ne suscite guère d’enthousiasme chez les candidats en campagne. Ils en parlent peu ou pas, certains préférant évoquer la construction d’une éventuelle passerelle sur la Charente. » Et ceux qui pensent différemment ?
  4. Selon vous, seul le prochain maire décidera de l'avenir de ces tours et des frais engagés dernièrement par la municipalité en place (« Sa réalisation dépendra évidemment du bon vouloir du nouveau maire. ») qui a piqué l'idée en cours de mandat pour l'oublier et la ressortir à la veille des élections ! Conception pour le moins vieillotte de la démocratie...
  5. Pourquoi ne pas ouvrir le débat, à cette occasion ?
Il n'y a aucune immixtion dans le travail des journalistes, mais bien des observations et des interrogations pour le moins légitimes.

Pour l'absence des avis des candidats :  []
JM Pascal


SO et CL 19/02/2020


« On marche sur la tête par toutatis ! »

Sur la planète Cognaçaise, le choix d’élus inconscients...

SO (extrait) du 19/02 (cliquer pour lire)
- 8 millions d’€ pour le futur parc des sports vont être votés avant le résultat des élections. Ça n'est pas très sport !
- Cet investissement est un non sens à l’intelligence et une insulte aux réponses à mettre en œuvre face à l’urgence climatique.
C'est ainsi que deux citoyens discutaient de l'article du jour de la presse locale, le panier de courses à la main, au beau milieu de la place des halles.

Vous avez raison car pour nous ce n’est absolument pas une priorité, tout comme le réaménagement des halles, etc... Nous voterions contre.

Nous sommes pour des aménagements de rénovation à déterminer, rendant, par exemple, le stade plus accessible aux handicapés. Mais aussi permettre d'équiper de panneaux solaires, de pompe à chaleur, d'un système de récupération des eaux pluviales, d'une végétalisation des tribunes, etc... afin de moins polluer et de diminuer la facture énergétique.

Devant l’urgence climatique, notre territoire ne doit pas se contenter d’une politique de « greenwasching » (très à la mode en ces temps électoraux). En effet, il est précisé que « pas un seul arbre ne sera coupé » : pitoyable de réduire l'écologie à ce seul aspect ! Pour nous, tous les projets, d’autant plus qu'ils sont coûteux, doivent concerner un maximum de citoyens. Mais aussi avoir pour finalité une portée environnementale de santé publique et de réduction de la fracture sociale et spatiale.

Nous sommes pour favoriser, par des équipements adaptés à la pratique d’une discipline sportive, le développement du sport pour tous et non pour  la seule élite. Là est notre rôle d’élus, garants de l’utilisation des fonds publics, dans l’intérêt général.

Faut-il ici rappeler le copieux investissement du complexe des VAUZELLES pour le basket qui se voyait évoluer avec l’élite ? Comme pour le Rugby, le club avait convaincu de la nécessité d’un tel équipement  pour faire rayonner Cognac et pouvoir salarier des mercenaires qui ont quitté le navire quand il s'est échoué !

Notre territoire doit être ambitieux , prioritairement dans la montée en puissance des  investissements répondant à cette planification et transition écologique si nécessaires à notre futur.

Pas d'autre moyen que de décerner 2 magnifiques :  []
pour les irresponsables qui se reconnaîtront...


Un grincheux colistier


SO et CL 07/02/2020


Sa majesté ébranlée

Extrait CL 07/02/2020
Triste fin, sir : ça n'est  pas Tintin c'est ba-bin au Mali, mais aussi un adjoint à la voirie qui « dérape », un autre adjoint à l’éco« nomie de soi-même », payé par des fonds publics, n'a jamais rien contesté jusqu'au terme de son mandat et n’a rien fait pendant 6 ans. Et maintenant les « playmobils » de la majorité atteints du conovarius de la rébellion à un mois de leur fin de mandat. Ça sent une fin de règne révélatrice de non dits et d’une « démocrature » qui auraient mené au chaos, si l’aventure avait dû continuer .

La majorité « se fendille », selon Sud Ouest. Non, elle se délite et montre son vrai visage. En ce qui nous concerne, c’est injustifiable de faire voter la vente des locaux enfance-jeunesse à un mois de la fin d’une mandature. Déplacer ce service et le mettre à la place de l’Office du Tourisme est un non sens, une ineptie. Une fois élus, nous nous empresserons de remettre en cause cette décision
Pour un désastre annoncé :  []

 
Extrait SO 07/02/2020
« Le candidat LREM parle de plagiat et Jonathan Muñoz lui renvoie l’accusation ». Nous répondons à 'Cognac en Commun' ! Vous avez dit comment ? Ah, oui, en commun ! Comme c'est bizarre...

Extrait SO 05/02/2020
Nous, nous avons plagié notre programme de 2014 qui avait toute sa pertinence de par son ADN, de la règle verte qui irrigue aussi maintenant le projet de 2020. Ce dernier à été accessible sur Facebook et sur le blog des le mois de Juin. Nous disons à LREM la prise d’un traître et fidèle à l’image du gouvernement qui ramasse tous les ambitieux sans « colonne vertébrale ». En ce qui concerne la presse qui formule ainsi le contenu de cet échange comme étant « enfin le début de la campagne municipale » et « Voilà qui va animer une campagne jusque là atone ».

Nous ne comprenons plus cette même presse qui nous dit en off  : 
« vous avez un programme où il y a du fond et politique, avec des propositions pertinentes. Mais sur la forme vous reprochez que l’on vous pique des idées et cela nuit à votre message ».

Alors là nous ne comprenons plus et nous allons rejoindre les ordres.

Pour un "sympathique esprit" :  []




CL 06/02/2020
Quelle fiscalité ?

Pascaline Brisset (centre) « rapidement et fortement via la taxe d’habitation pour les deux ans restants, afin de bénéficier ensuite d’une base de compensation par l’État plus importante. »
En ce qui nous concerne, nous avons d'autres solutions pour faire des économies et augmenter les recettes (?? voir ci-dessous) qui d'ailleurs ne sont pas évoquées dans cet article. Si nous sommes élus, nous prendrons à notre compte la proposition pertinente de Pascaline Brisset, si la législation le permet : une façon d'assumer positivement le plagiat... ??

Cette lucidité mérite : [??]

. Coupure de l'éclairage public de 1 h à 6 h
  • Équiper les bâtiments publics en panneaux solaires, récupérateurs d'eau pluviable et végétaliser
  • Politique d'achat local et durable
  • Fabrication de produits ménagers
  • Créer des toilettes sèches
  • Création d'une régie municipales (serres, etc.)
  • Réalisation de ronds points en régie
  • Mise sous alimentation solaire des panneaux d'information
  • Gérer l'eau en régie
  • Pollueurs-Payeurs
  • Taxe sur les friches
  • Pas de caméras de surveillance, désarment de la police
Rappel : nous n'augmenterons les impôts que pour développer ou défendre les services publics. Dans le cas de forts investissements, les citoyens seront consultés (c'est ça d'être de la gauche de la Gauche ??)
En conclusion : encore des imprécisions et "merde !"
Édouard P
 
SO et CL toutes éditions
Quand la presse se fait aveugle

En guise de chapô

SO 25/01/2020 (cliquer sur l'image pour lire)
« À part attribuer des brevets de Gauche ou de journalisme sur son blog, Notre Territoire en Commun est très préoccupé ».

Oui, nous sommes préoccupés, mais aussi inquiets de voir que votre lecture de notre blog est des plus restrictive et se limite à la surface des choses. Comme vous êtes joueur, nous vous proposons de laisser de côté La Marre aux Canards la propreté, l'animation du centre ville, les halles, sans oublier l'inévitable tête de liste pour revenir à l'essentiel est ce que nous exposons ci-après.

Voilà ce que nous ferons

Nous pensons que de veiller à une bonne gouvernance d’un territoire, relève de choix et d’actes politiques forts, devant résoudre les maux et les difficultés que rencontre notre bassin de vie. Pour nous, il est essentiel au travers des choix, de répondre prioritairement à l’urgence climatique, à la nécessité de créer les conditions d’un vivre mieux et ensemble...


Nous pouvons constater que, malheureusement, les programmes communiqués par deux des 7 listes en présence participent d’une gestion sans ambition politique. Cette gestion toute pépère va du nettoyage des panneaux de signalisation, l'entretien des écoles, de la voirie, en passant par la maîtrise des dépenses... ce qui, soit dit en passant, n'est que l'ordinaire du fonctionnement communal. Nous posons la question : est-ce par manque d’idées, de clairvoyance ou par frilosité, à moins que ce soit par abandon des enjeux politiques principaux ?
En ce qui nous concerne, dès que nous serons élus, nous prendrons les décisions politiques qui suivent. Nous proposerons par souci de cohérence, de mettre en œuvre sur l’agglomération celles qui peuvent y être appliquées. Il est bon ici de rappeler que la majorité des compétences dépend de l’agglo. Pour n’en citer que quelques-unes et pour faire simple : la culture, le sport, la petite enfance, la politique de la ville, le logement, l'eau , l'assainissement, les déchets, le tourisme, le transport l’économie....

Malgré bon nombre de compétences dévolues à l'agglo, nous ne resterons pas enfermés dans une gestion à la petite semaine :

Nous inscrirons dans le PLU et le PLUI le développement d’une autre économie : locale, solidaire et non délocalisable... par un aménagement du territoire qui ne grignote pas notre terre nourricière. Mais aussi par une véritable approche environnementale de l’ensemble des actions politiques pour notre territoire.

Nous veillerons à l'équilibre ente la ville centre et les communes rurales.

Nous présenterons une candidate à la présidence de l'Agglo. Nous proposons, par ailleurs, que la présidence de l'Agglo soit renouvelée tous les 3 ans.

Décisions politiques sans impact sur le budget et néanmoins très importantes :
  1. prendre un arrêté communal pour interdire l’utilisation des pesticides et des perturbateurs endocriniens
  2. prendre un arrêté communal pour interdire l’installation du compteur Linky
  3. combattre la pollution lumineuse et faire des économies en coupant l’éclairage public de 1h du matin à 6h
  4. proposer de créer des ZAP (Zones Agricoles Protégées) - agglo
  5. effectuer un audit financier de la commune
  6. désarmer la police municipale pour une commune apaisée
  7. favoriser la liberté publique de se déplacer en supprimant l’installation des caméras
  8. créer une taxe sur les friches
  9. interdire la consommation de l’eau d’adduction, si celle-ci s’avère impropre à la consommation comme il semblerait nous interdirons sa consommation
  10. réunir les acteurs de la filière viticole pour trouver un accord (pollueur payeur)
  11. proposer d’accompagner les acquisitions foncières pour créer des cultures maraîchères - agglo
  12. proposer de ne pas agrandir la surface viticole (droits de plantation) - agglo
  13. proposer d’adhérer au dispositif Vivi foncier - agglo
  14. interdire toutes extensions et créations des zones commerciales.
  15. prendre un arrêté de non mise à la rue avant relogement
  16. respecter le non cumul les mandats (comme en 2014)
  17. signer la charte Anticor (comme en 2014)
  18. nommer un référent éthique
  19. proposer la gratuité d’usage des transports - agglo
  20. acheter au maximum de l’énergie verte
  21. proposer les 10 premiers m3 gratuits - agglo
  22. peser de tout notre poids en tant que ville centre pour que l’eau soit gérée en régie - agglo
  23. proposer à l’opposition la présidence de la commission de suivi des finances
  24. participer activement aux luttes sociales

À la lecture de ces impératifs, il est facile de comprendre nos priorités et de constater que ces propositions politiques nécessitent du courage, ne coûtent rien et profitent aux citoyens. Certaines même permettent de faire des économies ou de pouvoir bénéficier d'une indemnisation…

Ces actes politiques qui seront posés dans les six mois de notre élection, s’inscrivent dans les urgences à traiter au regard des enjeux climatiques, de santé publique et de lien social.



Projets structurants soumis à l'approbation des citoyens :

Ils seront adossés à une réelle participation des citoyens (Conseil Citoyens et référendum). Ces choix seront faits dans le cadre du budget d'investissement – naturellement sur la base d'une répartition pluriannuelle - qui suivra et sera donc co-construit.



Pour enclencher la bifurcation écologique :
  1. imperméabiliser et arborer les parkings de CROUIN de Camille Godard et de Jean MONNET
  2. proposer une liste de bâtiments publics pour les équiper de panneaux solaires de récupérateurs d’eau de pluie etc...
  3. revisiter le PLU pour éviter toutes nouvelles implantations commerciales aux entrées de ville et aux ronds-points
    • pour geler toutes surfaces utiles à l'implantation de zones maraîchères
    • pour obliger que tous les parkings créés soient perméables
  1. développer les pistes cyclables (plan vélo)
  2. créer deux parkings végétalisés et non imperméabilisés pour le covoiturage
  3. créer une régie municipale maraîchère (serres...).
  4. développer les projets d’habitat partagés, écologiques et favoriser l’auto construction
Pour favoriser la vie sociale :


  1. créer un lieu de répit pour les aidants familiaux
  2. nous conserverons et développerons la maison de santé mutualiste avec l’accueil de dermatologues et de gynécologues
  3. réaliser une maison des associations et des syndicats
  4. ouvrir sur l’agglomération une maison d’accueil et d’hébergement pour les employés saisonniers
  5. étudier la possibilité de mettre en œuvre d’un minimum social (Grand Synthe) et de l’étendre à l’agglomération
  6. nous proposerons en ce qui concerne le marché couvert qu’il se transforme en un lieu où trouver les producteurs locaux et régionaux et bio et accessible financièrement pour tous
  7. créer une caisse de crédit municipal
  8. créer un service municipal d'accompagnement et de maintien à domicile des seniors dans un premier temps au niveau de la commune agglo
  9. créer une mutuelle santé communale
  10. instituer un chèque vacances pour les employés territoriaux

Pour des actions pour mieux vivre la ville :


  1. un miroir d'eau (place d'armes)
  2. fermeture du musée d’art et d’histoire  (parking du musée) pour y mettre la salle du Conseil Municipal et à l'étage le service Transition écologique
  3. création d'un service funéraire public
  4. vendre la maison de quartier Jules Ferry pour y faire un commerce au rdc et à l'étage des studios. Elle sera transférée en lieu et place de la Bibliothèque (Étudier la possibilité d'y installer la maison des associations et des syndicats) qui est appelée à être absorbée par la future médiathèque
  5. réhabiliter les Tours de Cognac (chantier d'insertion)
  6. requalifier et réhabiliter les entrées de ville (Avenue Victor Hugo ou Avenue St-Jean d'Angély ou route de Pons)
  7. réaliser des ronds-points en régie, en lieu et place des feux (St Martin, Champ de Foire, route de Segonzac et Avenue Victor Hugo)
Après la lecture de ces 24 propositions, vous pouvez anticiper et en prioriser 5, Cela nous permettra de mesurer encore plus finement vos attentes (voir le formulaire joint).




SO et CL 25/01/2020
Digne d’un vaudeville des plus pitoyables
Une précision des  « excités » du clavier

Pour nous, le combat politique se mène sur les idées, sur la pertinence des choix et des postures politiques et ce au regard des faits observables et quantifiables.

Dénoncer, contester n’est pas un crime de lèse majesté. En ce qui nous concerne, jamais nous n’attaquons nos adversaires sur leur personne ou leur profil, ce qui n’est pas toujours le cas de nos adversaires ! Et là, retour de bâton !

Seuls nos ennemis (RN) peuvent faire l’objet de ce type de critique.
Au sujet de la situation et des reproches de Jean-François Hérouard : « Jonathan Muñoz n’a pas la carrure pour être maire » ça fait mal, venant d’un ami politique (« Chacun se dit ami mais fou qui s’y repose Rien n’est plus commun que le nom,rien n’est plus rare que la chose » Jean de la Fontaine)

Cette affirmation appelle une question : « avoir la carrure » cela relève de quelle obligation ? Venant de la part de Jean-François Hérouard, cela relève du mépris des carriéristes en politique dont il fait partie, mais aussi d’un « ego-logie » qui n’a d’égal que son inconsistance.

De fait pendant 12 ans, tout valider, ne pas intervenir pour condamner, proposer, se taire, et tout cela pour se targuer d’un résultat sans ambition, des petites fleurs... et la mise en œuvre de l’agenda 21 !

À ce stade, il faut expliquer ce que recouvre un agenda 21. C’est une obligation pour toutes les collectivités de s’inscrire dans une démarche qui découle du sommet de la terre de Rio de Janeiro, en 1992. Ce plan d’action est encadré par trois lois : la loi LOADDT (Loi avec d'Orientation pour l'Aménagement et le Développement Durable du Territoire) de 1999, la loi SRU (loi Solidarité et Renouvellement Urbain) de 2000 et sur la loi de la démocratie de proximité de 2002. Ces lois proposent des outils et un guide pour mettre en œuvre une politique de développement durable sur un territoire donné.

Là, vous piochez et vous prenez des mesures qui vont des plus ambitieuses à celles qui sont les plus minimalistes. Vous consultez et faites des grandes messes, ou tout est déjà planifié. À Cognac Monsieur double jeux, ainsi qualifié par Jonathan Muñoz, à mis en œuvre des mesurettes qui certes son nécessaires mais peu de choix drastiques et politiques. Il va, le « Monsieur écobuage », jusqu’à dire que le programme sur la transition écologique de Jonathan Muñoz est un beau programme et qu'il aurait pu l’écrire !

Jean-François Hérouard « développe et durablement » s’inscrit dans la gageure. En effet, nous en avons cherché la teneur, nous en avons trouvé la couleur verte sur la belle brochure, mais rien sur une politique environnementaliste de fond, si nécessaire au regard des enjeux climatiques.

Dans l'article de CL, Jonathan Muñoz déclare : «  j’ai fait le choix de ne pas le prendre pour une question d’âge ». Petit menteur, le dernier de la liste, pour faire beau et par calcul politicien, pour séduire des citoyens, est monsieur Jean BAPTISTE Etchevarria, 81 ans et surtout président local de la FNACA (Fédaration Nationale des Anciens Combattants d'Algérie), organisation pour laquelle nous avons le plus grand respect. Ça s’appelle faire de la politique autrement par un jeune qui pratique comme dans l’ancien monde !

L'attitude de Jean-François Hérouard n’est  pas pathétique, comme le dit Jonathan Muñoz. Elle est pour nous « éco-irresponsable » ! Il en rajoute de quoi boire le calice jusqu’à la lie. Cet homme inscrit à gauche ose s’embrigader en Macronie... La Macronie c’est la violence, le mépris des classes populaires, de la casse sociale et une politique productiviste et libérale qui en rien ne mènera à la transition écologiste (aujourd'hui, nous savons que sur la période 2017-2018 c'est + 24% d'utilisation de pesticides !). Il complète sa diatribe et précise sa motivation de grand prêtre de la transition écologique : mener à terme un projet d’éco-quartier. À ce stade, ne pourrait-on pas appeler ce projet « Pasd'quartier », projet inscrit dans les programmes 2008-2014 par Jean-François Hérouard et le Maire, qui devrait se réaliser au Fief Caillou dans la chaussure d'Hérouard... Il est bon de préciser qu'en 2014, nous proposions une opération habitat, sur le quartier de l'hôpital, idée reprise par ces derniers. Cette décision est intéressante, mais loin d'être suffisante eu égard au nombre important des décisions politiques à prendre urgemment - qui serait l’apothéose de son mandat, à l'en croire.

Il confirme aussi « Je serais dans les cinq premiers et j'aurai pour rôle de coordonner l’ensemble des choix, ce qui est inédit sur Cognac ». NON, depuis septembre 2019, nous affirmons et démontrons sur notre blog que l’ADN, l’âme de notre projet, a pour colonne vertébrale la question environnementale et que la conduite de ce dernier se fera sous l’égide et sous le contrôle du Premier adjoint à la transition écologique. Qui fait mieux, PETIT Copieur ? Décidément c'est une épidémie !

Moralité Monsieur Jean-François Hérouard a le droit de se comporter comme une " pirouette-cacahuète ", opportuniste et intéressée. Il a le droit de ne pas être d’accord avec une politique menée par lui-même et ses affidés. Dans ce cas, on la dénonce puis on quitte le navire avant qu’il ne s’échoue ou arrive au port quand on sait nager. Sinon c’est par pur calcul de vouloir s’ancrer à une autre bite d’amarrage que le PS !



Comment faire autrement que de distribuer une :   [] à chacun ?

Serge Lebreton

CL 16/01/2020
Cœur de ville et Cœur de quartiers 



Projet cœur de ville
Dans
nos propositions
2014
Dans
nos propositions
2020
Notre commentaire
-1- Amplifier les actions de requalification du parc de logements privés dans le centre-ville pour réduire la vacance et pour améliorer les conditions de vie des habitants, notamment en engageant une opération programmée OPAH-RU ambitieuse et incitative.
OUI
OUI
Enfin ! Nous préconisions une OPAH déjà en 2014. Il faut savoir que ce dispositif date de 1977. Nous souhaitions solliciter SOLIHA (Solidaire pour L'Habitat), PACT (Protection Amélioration Transformation) ET l'ANAH (Agence Nationale pour l'Amélioration de l'Habitat).
-11- Création d'un écoquartier de 90 logement sur l'ancien terrain des verriers.
OUI
OUI
Curieux ! Plus de Fief Caillon ? Nous avions  combattu ce choix.
Nous proposions un écoquartier avec une finalité bien précise et justement dans le périmètre de l'ancien hôpital.
-18- Aide à l'adaptation des logements des personnes âgées ou handicapées.
OUI
OUI
Enfin ! Pendant 12 ans rien  !
-16- Construction d'une résidence habitat jeunes sur le site de l'ancien hôpital.
OUI
OUI
Nous pensons que cette dernière aurait dû être réalisée en centre ville près des services et en 2014 nous pensions aux chais Monnet comme lieu d'implantation.
-17- Refuser toute création de nouvelle zone commerciale en périphérie.
OUI
OUI
Enfin ! Alors là c?est fort de café : après deux révisions du PLU qui pouvait éviter cela par le vote de l'ensemble du Conseil Municipal.
-21- Restructuration (et agrandissement) des commerces de la rue Aristide Briand.
OUI
OUI
Curieux ! L'évidence même, au delà du coût de location, les surfaces de chalandises sont trop petites et nous proposions d?acheter EN PRÉEMPTANT les commerces vacants contigus pour accroître la surface de vente.
-22- Privilégier le commerce de proximité dans la communication et les achats municipaux.
OUI
OUI
Curieux !Cette proposition est reprise seulement maintenant...
-37- Création d'une antenne locale du Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM).
OUI
OUI
Copieur ! Nous proposions déjà de créer une pépinière des arts et métiers
-38- Réalisation d'un schéma d'aménagement cyclable.
OUI
OUI
Enfin ! Nous proposions déjà, avec une terminologie différente le plan vélo.
-44- Création d'une offre de vélo " partage " et de location de vélos classiques et électriques.
OUI

Un dispositif avait été proposé par le pôle mobilité de l?association des Quatre routes en 2010. Rien à ce moment là et maintenant ça réapparaît !
-50- Réaménagement de la place Martell et du Bd P.-Firino Martell.
OUI
OUI
Curieux ! Notre fameux triangle d'aménagement de 2014...
-51- Réaménagement de l'avenue Victor Hugo et des abords (sur sa section départementale).
OUI
OUI
Nous proposons d'étudier la Requalification et l'aménagement (paysagé et pistes cyclables) des trois entrées de Cognac.
-53- Limiter les enseignes et les affichages publicitaires aux entrées de ville.
OUI
OUI
Curieux ! Après avoir renouvelé dernièrement toutes les sucettes !
-52- Suppression des feux aux intersections des avenues Victor Hugo et de Paris.
OUI
OUI
Nous sommes partisans de programmer la suppression de tous les feux et de réaliser des ronds points en régie.
-60- Mise aux normes des parkings, notamment celui de la place Camille Godard.
OUI
OUI
Encore ! C'est une de nos propositions... De plus, nous souhaitons les rendre perméables et arborés, comme nous le souligne la LOI ALUR (Accès au Logement et un Urbanisme Rénové).
-63- Réfléchir à l'aménagement des tours St-Jacques (et des abords) et à leur ouverture au public.
OUI
OUI
Enfin ! Nous proposions (2014) une restauration dans le cadre d?un chantier d'insertion.
-73- Lancement d'un plan " zéro mégot ".

OUI
COPIEUR ! Il est temps... et nous proposons d'envisager de verbaliser les contrevenants.
-76- Adopter une charte de la végétalisation et de l'arbre en milieu urbain.
OUI
OUI
Nous proposions déjà en 2014 un plan pluriannuel de plantation.
-82- Créer ou soutenir la création d'un cinéma à la programmation majoritairement " Art et essai " en centre ville.
OUI
OUI
Nous proposerons cet équipementau au théâtre de Cognac.
-86- Créer une maison des associations dans les locaux réhabilités de l'ancien hôpital.
OUI
OUI
Nous proposions déjà, en 2014, une maison des associations avec une maison des syndicats sur le même site.

Pour le travail sur le dossier : [?]

BAYARD

Nous n’avons pas besoin de cœur de ville pour avoir des idées et faire des propositions pour notre territoire. 

En effet, à la lecture du tableau qui précède et repris de l’article de La Charente Libre du 15/01/2020, vous pourrez constater que nous portions bon nombre des propositions de Cœur de Ville (une vingtaine) pour les élections de 2014 ainsi que pour celles de 2020. Merci à vous les journalistes et nous vous convions une nouvelle fois à lire nos 158 propositions
Au vu du nombre important des choix politiques et d'investissements (158), nous soumettrons aux citoyens 3 à 4 projets structurants, annuellement, qui deviendront prioritaires et nécessitant des investissements lourds. L'état du budget commandera un référendum en précisant le choix du Conseil Municipal. Nous choisirons pour l'AGGLO comme pour la Commune, des projets devant répondre prioritairement et obligatoirement :
      1. à un intérêt environnemental (lutte contre la pollution, énergies renouvelables, cultures maraîchères bio, circuit court, urbanisation respectueuse, santé…)
      2. à la priorité du vivre ensemble (rompre l’isolement, la précarité, accessibilté de la voierie et des Services Publics, rendre la Culture accessible à tous et l'accès à une pratique sportive de masse...)
      3. au maintien de nos jeunes sur notre territoire (vivre et travailler, s'éduquer dans de meilleures conditions)
Pour les choix dans le cadre du budget de fonctionnement, nous tiendrons compte de ces critères.

« Animer le centre ville, illuminer les rues commerçantes ».
Nos propositions 'colibri' peuvent aussi revêtir un caractère secondaire ou de pure gestion. Mais soyons clairs, elles seront dictées par des choix éminemment politiques, au contraire des sans étiquettes et soit disant listes citoyennes de l’ancien monde.

Aucune des liste ne fait état des urgences sociales, économiques et environnementales ! Pour nous elles doivent irriguer nos priorités.

En effet, pour rappel, à Cognac « ville au cœur du monde » :
      • 24,4% des enfants vivent dans une famille sans actif occupé (13,7% pour la Charente)
      • 26,3% des personnes vivent seules
      • 40,7% des citoyens entre 31 et 40 ans ont le sentiment d’être isolés. De même 25% pour les seniors.
      • le taux de chômage est de 17,4%
      • 1/3 des moins de 30 ans vit en dessous du seuil de pauvreté
      • 2/3 des 25 ans se voient partis de Cognac dans les 5 ans
      • taux de pauvreté à Cognac : 18,3%
      • 40% des gens ne pratiquent aucune activité et on pourrait continuer longtemps...
VOUS COMPRENDREZ DÈS LORS LA NATURE DE NOS PRIORITÉS !

Face aux 88 propositions cœur de ville, nous posons aussi la question : qu'est-ce qui est prévu pour le cœur de quartier ?

Nous démontrons et déclamons haut et fort que nous n’avons pas besoin de puiser dans ce dispositif onéreux et que nous ne sommes pas assujettis à plagier Cœur de ville qui semble être l’alpha et l’oméga des politiques à mener pour la presse.

BAYARD

Pour l'angle du commentaire :  []

SO 06/01/2020
Des flops et pas de gauche
Des sentiments et des faits incontestables


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Tout d’abord, incontestablement il y a eu des Tops.

Une fois dit cela, les FLOPS, malheureusement plus nombreux :
    • Refus de gérer l’eau en régie
    • Non dénonciation des DSP.
    • Dans le cadre de son mandat, n'a pas délégué la gestion des déchets à Calitom. 
    • Tenir compte de l'économie : oui mais il n'a pas taxé les maisons de Cognac pour les problèmes de pollution, donc de santé publique !
    • Pas de gratuité des transports.
    • N'a pas pris la décision de mette en œuvre le principe de précaution quant à l'installation des compteurs Linky.
    • Un PLU qui n’a pas empêché l’installation de petites surfaces commerciales aux entrées de Cognac. Mais aussi la vente des terrains cultivables de Gagey pour une opération financière.
    • La fermeture des serres de Jarnouzeau.
    • Cœur de ville en fin de mandat : il était temps ! Et surtout absence d’une opération « cœur de quartiers ».
    • Absence de pistes cyclables.
    • Baisse de l’intervention des employés communaux par un non remplacement des départs en retraite
    • Le Fief Caillon (nous étions les seuls à proposer une réflexion sur l’hôpital.
    • Pas de maison des associations et des syndicats.
    • Augmentation de ses indemnités.
    • Cumul des mandats.
    • Démocratie participative placebo avec les conseils de quartier
    • Non prévision du devenir de l’ancien hôpital et du coût de démolition.
    • Surcoût des vitrages de la salle de basket et tout cela pour des mercenaires et un club qui n'est plus !
    • A déshabillé la commune de ses compétences et a fuit ses responsabilités à l’agglomération.
    • Une commune ou les habitants vieillissent et où la pauvreté augmente.
    • Une gouvernance centrée sur sa personne.
    • Après avoir été de tous les mouvements sociaux, son absence de ces derniers.
    • Un certain mépris pour le mouvement des Gilets Jaunes.
    • N'a pas interdit les « Maurassiens » (La manif pour tous) de chanter sur la place François Premier.
    • Une approche orwellienne de la "sécurité", dangereuse et annonciatrice d'un Big Brothers pour les libertés. De plus, en restant dans sa logique : pourquoi le centre ville et pas les quartiers ?

      Pour les trop nombreux flops :  []
« La famille tout à droite et excitée du clavier »*
 
*Donc pour être loué par le maire, il faut faire allégeance et contester, c'est blasphémer !
    CL 06/01/2020
        Superbe titre pour un mandat vide !
         
        Effectivement, cette liste pose question !
         
        Les questions qu'elle pose n'y change rien, au contraire. Elles laissent apparaître combien la démocratie est quelque chose de pas trop important : « Oui, Non, Sans opinion » et déblayez le terrain : pas de temps à perdre !
         
        La méthode gagnante de 2014 est reconduite : aucun travail sur le programme et sans doute va-t-il descendre encore du national. Tante Marine est bien trop bonne... Mais à quoi le RN occupe-t-il son temps sur une mandature ? Ah, oui, la sécurité qui est loin d'occuper les esprits à Cognac !
         
        C'est vraiment pitoyable d'avoir des élus de cette "envergure"...
        Pour  la stérilité de ce mandat et
    []

        CL 04/01/2020

    Monsieur Armel Le Ny, nous on s'em...
    ...pare de la campagne depuis AVRIL 2018 !

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    Comment pouvez-vous écrire un tel billet d'humeur ? Comment osez-vous, une fois de plus "oublier" une liste sur Cognac  (je n'ose pas croire que cet oubli est en adéquation avec un quelconque engagement politique) ? Peut-être vaut-il mieux dire pourquoi...

    Je vous ai bien lu et ce que je retiens de votre texte c'est qu'il n'y a rien de spectaculaire à se mettre sous la dent. Parce qu'une campagne électorale c'est fait pour faire dans le cinéma, le sensationnel ? Le fait d'être d'accord avec Michel Gourinchas, sans doute grand animateur de la campagne de par son absence, ne suffit pas à légitimer votre propos.

    À vous lire,  ce sont les têtes de liste et leurs colistiers qui font le sel de l'exercice. Oui, vous regrettez plus encore le manque de programme. Très bien, mais vous devez avoir un problème de vue... En effet, depuis avril 2018, la « liste citoyenne Notre Territoire en Commun » n'arrête pas de travailler et notre blog de campagne en témoigne. Si bien que nous en sommes à 158 propositions réparties sur 5 thèmes : 
    Comme vous pouvez le constater, il ne s'agit pas d'annonces fantaisistes, spectaculaires, comme le téléphérique de Lavaud à Angoulême (à tel point que nous avons eu l'occasion à dénoncer les "emprunts" des listes concurrentes qui semblent avoir une pénurie de création). Ces 5 points sont notre priorité et ils expliquent que la désignation d'une tête de liste est bien secondaire ! Mais oui, nous n'en avons pas et de plus nous ne sommes pas pressés. C'est sans doute cela qui nous disqualifie à vos yeux ?

    En attendant votre réponse, nous nous interrogeons vraiment sur le concept d'information que vous semblez plébisciter. Nous continuerons à nous acharner à ne pas faire les choses comme les autres, parce que c'est notre ADN ! Faire de la politique autrement ça n'est pas faire perdurer les vieux schémas et les fausses apparences !

    Pour ce regrettable "oubli" et pour la cécité :  []
    Jean-Michel Pascal


    SO et CL 21/12/2019

    Quelques précisions...

    En politique, il n'est pas toujours facile de mener sa barque en dehors des chenaux empruntés par les tenants de l'identité du capitaine !

    C'est le Sud Ouest qui le dit :

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    Nous les remercions d'avoir retenu que nous sommes attachés au programme, avant de parler tête de liste. En conséquence, pour le moment, nous sommes tous tête de liste en puissance !

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    Un peu plus loin Sud Ouest note que nos concurrents organisent une conférence de presse pour se faire connaître. Chacun fait ce qu'il veut, mais nous, nous préférons faire connaître nos propositions d'abord et ça n'est pas nouveau. Ceci dit, qui a informé Sud Ouest que nous ne ferions pas de conférence de presse ? C'est une fake news comme on dit en bon français (!) et nous nous adresserons aux journalistes lorsque le programme sera définitivement bouclé. Il ne vous a pas échappé que notre projet s'enrichit au fil des jours et des réunions de travail. Nous adressons régulièrement des mises à jour des différentes rubriques par courriel, afin de faciliter le travail des médias.

    Nous pouvons aujourd'hui vous livrer un scoop : notre calendrier de travail que nous allons publier sur le blog prévoit que la validation du programme se fera le 17/01/2020. Ce qui veut dire que nous organiserons une rencontre avec la presse dans la semaine qui suit. À cette occasion, nous devrions ête en mesure de faire le point avec vous sur la composition de la liste et la tête de liste.

    Une dernière ambiguïté reste à lever. Serge Lebreton a toujours été l'animateur de notre Comité de pilotage et il le reste, même si son nom ne figure pas encore sur la liste et notre camarade Brigitte Bonneau se trouve être la première citée et sa qualité de tête de liste en 2014 n'implique nullement qu'elle remette le couvert en 2020. Nous avons prévenu que les noms étaient dans un ordre totalement aléatoire...

    Enfin, parlons de La Charente Libre qui se contente de publier une brève en bas de page rendant compte uniquement de la composition de la liste à l'exclusion de tout commentaire. Nous avons donc droit à la portion congrue, faute de conférence de presse, sans doute. Nul doute que CL fera mieux en fin Janvier...

    Pour l'article SO :  []
    Pour l'article CL []
    Ni « Gauche de la Gauche »
    Ni « France Insoumise »
    Tout simplement
    Le responsable à la communication pour le comité de pilotage de la liste citoyenne « Notre Territoire en Commun »




    SO 18/12/2019
    Vide de creux...
    Pleine de bla-bla !


    Que peut-on décrypter en lisant cet article (cf. SO du 16/12/2019) ?
    « il a égrené des points de son programme » est-il mentionné. Et bien, je ne dois pas savoir lire, car au regard de ceux qui sont évoqués, au delà de la gratuité  pas grand chose...

    Pardon si : « revitaliser le centre ville passera par un jeux de chaises musicales » ça c’est ambitieux comme programme et démontre la grande capacité à proposer du creux !

    Ce Monsieur Lelièvre a été directeur de trois maires. Alors  que faut il en déduire ? Viré pour incompétence ou parce que le maire n’a pas été réélu ? Il avance que fort de cette expérience, ça le prédispose plus que d’autres à être maire !

    Il précise que son équipe et composée par une forte représentation du monde de l’entreprise : ah, oui, c’est vrai pas des employés ou des ouvriers des collaborateurs comme ils disent !

    Mais aussi une liste forgée sur l’expérience, entre autre, des élus au CG16 car être élu garanti de la capacité à entreprendre, entre autre, le virage de la bifurcation écologique par exemple !

    Foutaise : pas une liste partisane, ça c’est la sauce qu’ils vont tous nous servir. 

    Mensonge : il en rajoute « Ce n’est pas une liste partisane. Il n’y a pas que des gens de droite. » !

    Pour finir, comme toujours rien ou pas grand chose sur le programme : 
    • un casting garant que notre territoire va s’engager dans des solutions et une pratique politique autre que de la gestion
    • de la vidéo, solution adoubée par tous comme étant la préoccupation majeur de nos concitoyens
    Lamentable !

    Pour l'ensemble de son œuvre à droite :  []
    Edgard aux doigts d’argent

    SO 18/12/2019
    C'est du Pagnol !
    Les fils du puisatier...

    Il ne reste plus qu'à PUISER… et c’est le journaliste Philippe Ménard de SO (18/12) qui le dit. Non sans malice, il pose aussi la question fort pertinente : « pourquoi lancer une telle galerie de projets à 3 mois des élections ? »

    « Perfidie de sa part  » ? la réponse, à notre avis, est dans la question subliminale qu’il pose et il le sait !

    Allez, essayons de décrypter et à cette étape de notre commentaire, il est bon de préciser que : « toutes similitudes avec un fait s’étant déjà produit est fortuit et de pure coïncidence... »

    Ce comportement est, pour l’informé que je suis, de l’ordre du calcul et c’est très « hollandiste » dirons-nous pour une meilleure compréhension de nos propos. En effet, l'ancien Président de la République préconise et intervient à tour de bras, dissertant sur ce qu’il faut faire, alors qu’il ne l'a pas entrepris ! Ce procédé mesquin relève d’un ego politique un peu infantile. Le seul but de cette manœuvre est de mettre en valeur le locuteur, qui laisse supposer qu’il le ferait, s'il était encore aux affaires ! Le Maire et son dauphin ont fort bien compris tout ça !!! Et oui...

    Ces anciens ex, futur du PS et d’ailleurs, savent puiser et copier. Ils nous l’ont démontré après avoir repris une déclaration de candidature d’un élu de droite, mais aussi après avoir annoncé, alors que nous l’avions proposé, d’envisager de mettre des cendriers en ville, et curieusement, c’est aussi une suggestion qui, semble-t-il, ressort dans l’analyse de Action Cœur de ville !
    Comme les préconisations suivantes qui s'inspirent, une nouvelle fois, de nos mesures (2014 et 2020) :

    • Axe 1
    Objectif 1 : Amplifier les actions de requalification du parc de logements...
    Objectif 5 : Lutter contre l'habitat indigne 

    • Axe 2
    Objectif 3 : Réduire la vacance commerciale
    Objectif 8 : Favoriser le développement autour des métiers d'Art
    • Axe 3
    Objectif 5 : Soutenir les transports collectifs et écologiques
    Objectif 6 : Mettre aux normes les parkings
    • Axe 4
    Objectif 2 : Valoriser les tours Saint Jacques
    Objectif 4 : Développer la végétalisation des espaces publics 
    • Axe 5
    Objectif 5 : Maison des associations
    Cependant, un mot sur un retard à l’allumage, lourd de conséquences, qui ne pourrait que se limiter au fait de vouloir enfin restaurer les tours de Cognac, si emblématiques de notre patrimoine, ce que nous avions proposé de faire en 2014 dans le cadre d’un chantier d’insertion et que nous proposons à nouveau. 


    Venons-en à ce triste aveu d’incompétence que de reconnaître que l’erreur qui a été faite sur Cognac, mais aussi à Châteaubernard, est de ne pas avoir su s’opposer à la prolifération de commerces à la périphérie de la ville, ce qui est proposé maintenant. Nous avons déjà évoqué ce sujet et condamné le fait de ne pas avoir protégé ces endroits dans le cadre du PLU (Plan Local d'Urbanisme) et cela était possible. 


    TRISTESSE, TRISTESSE...


    Donc, pour finir, nous ne puiserons pas dans cette galerie - pour le moment, nous l'alimentons... - car nous avons nos propres propositions au nombre de 158 dans lesquelles certains viennent déjà s’abreuver. Manque d'imagination ? Paresse intellectuelle ou syndrome de la duplication ? Qu'ils se méfient ce pourrait être un puits sans fond !

    Pour reprendre les propos de la journaliste de CL nous n’utiliserons pas « ce travail prémâché » !

    Pour la fin de règne :  []


        Pour le Comité de Pilotage : Serge Lebreton


        SO 21/12/2019

        Un jour, il faudra bien se poser les bonnes questions !


        L'homme qui s'en va, qui n'a pas fait et qui conseille s'émeut d'une montée du communautarisme dans une classe de CM2 de l'école de Crouin. Ses collègues élus du Grand Cognac l'entendent conclure : « Si on lâche sur les questions de République et de laïcité, le basculement se fera. » Fort bien. Et si une autre question se posait avant celle-ci ?

        En effet, nous sommes en présence d'enfants de 10-11 ans et il serait peut-être bien de se demander d'abord « Mais qu'est-ce qui fait que nous en sommes arrivés à de tels incidents avec des enfants d'école élémentaire ? »

        Au risque de paraître ringard - il est vrai qu'on le devient vite de nos jours ! - ça vaut le coup tout de même de remarquer que le mal est tellement profond, au niveau de l'éducation des jeunes enfants, qu'il n'apparaît anormal à personne que l'adulte, devant ce qui est manifestement une provocation, s'en remette à un vote de la classe pour savoir si oui ou non elle va pouvoir animer la séquence pédagogique qu'elle a prévue autour des trois tableaux de Léonard de Vinci... Bien entendu la suite de l'histoire est "logique" : après avoir contesté le contenu de la séance, on passe à "l'interdiction du vote" que veut imposer le même enfant ! Et notre élu sur la fin de mandat ne se pose pas d'autre question que la montée de l'islamisme, car il s'agit de cela, qu'illustrerait cette séquence de classe !

        C'est à désespérer... Comment avancer efficacement sur cette question quand nos élus interprètent un tel incident avec manifestement un manque de réflexion quand il s'agit d'un gamin qui fait le malin dans sa classe ? Qu'est-ce qui fait que la vraie question posée en priorité n'est pas celle de la dérive de notre société qui fait qu'un gamin puisse se permettre une telle intervention, impolie, parasite, couronnée par un défi face à l'adulte ? L'histoire ne dit pas ce qui s'est passé après cette "interdiction" et c'est bien dommage !

        Que ce garçon baigne dans un milieu communautariste et, disons-le, dans un environnement islamiste semble hors de doute. Dans le cas contraire, il aurait trouvé autre chose pour tenter d'imposer sa loi dans sa classe !

        En guise de conclusion : « Si on lâche sur qui doit avoir la maîtrise de la discipline et du bon déroulement pédagogique des séquences en CM2, l'École est fichue ! »

        Sans doute va-t-on "traumatiser" des bonnes petites bouilles d'enfants, à force de vouloir leur faire sentir où sont les vraies valeurs... Il y a du boulot à faire pour redonner à l'adulte sa vraie légitimité dans l'Éducation, tout en accordant la plus grande des attentions aux enfants qui sont face à lui.

        Pour l'ensemble de l'œuvre de l'élu en question :  []

        Jean-Michel Pascal (retraité de l'EN et candidat)


        SO 06/12/2019

        Enfin, Sud Ouest fait état de notre constance concernant la gratuité pour les transports proposée pour les élections de 2014.

        La liste citoyenne "Notre Territoire en Commun", classée par ailleurs "la gauche de la gauche", fait la même proposition pour 2020.

        Signalons que cette proposition fait partie des 158 suggestions soumises aux citoyens par l'intermédiaire du pêle-mêle 2020-2025.

        Pour ce rappel très utile des faits, nous attribuons une [?]


    Au risque d’être encore plus ostracisés, nous ne pouvons que donner à nouveau de la voix, suite à la mise au point parue dans l'édition du 02/12/2019 !
    Y a-t-il encore de véritables échotiers à CL ? Nous commençons à en douter !
    Nous sommes les seuls à mettre en ligne et rendre accessibles à tous plus de 115 propositions. Les autres listes distillent par-ci par-là des bribes, aussitôt relayées complaisamment par la presse, de la plus politique à la mesurette. Curieusement, pour une partie d’entre elles, nous les proposons depuis 2014 et même avant...

    Pour n'en citer que quelques-unes :

    • gratuité (d’usage),
    • auberge de jeunesse,
    • planter des arbres,
    • signer la charte anticor,
    • réutiliser les serres,
    • mettre des cendriers en ville, etc...

    Ce sont des Cercopes en manque d’inspiration et incapables de proposer un projet politique en rupture avec ceux de « l'ancien monde ». Quant à CL, c’est inacceptable de rattraper le coup avec quelques lignes qui ne démontent pas la supercherie du candidat Lelièvre, en précisant que nous avons plus de 115 propositions novatrices et respectueuses de l’humain et de son environnement.
    Ce traitement journalistique, si l’on peut encore parler de journalisme, est inacceptable et des plus condamnable déontologiquement.  

    Nous sommes atypiques dans la façon de faire de la politique et CL, dans ces articles qui relèvent d’une pratique séculaire du traitement de l’information,   faitdu fond.


    Dans ces circonstances, qu’ils ne s’étonnent pas de la perte d’audience et de crédibilité auprès des gens éclairés qui se tournent vers des médias !



    Lachat de CL ne peut pas se justifier uniquement par rapport au sport, aux événements locaux et la rubrique des chats écrasés. Ce serait bien triste !


    Pour parodier une célèbre maxime : «Information sans conscience est la ruine du journalisme » 

    Morale de l'histoire : nos idées progressent et nous en sommes satisfaits, mais prenez tout !
    Dans ces conditions, il est difficile de mettre autre chose que  []

    Mathieu (membre de la liste)

    CL 29/11/2019

    Sommes-nous victimes d'un mauvais sort ?

    Cet article constitue un traitement parcellaire d’un sujet politique, nous sommes bien obligés de le constater ! Cette approche journalistique est vraiment dommageable à la réalité du terrain. En effet, elle fait la part belle à un candidat dont les élus de sa formation politique avec la CDC ont toujours voté contre la proposition de gratuité d'usage que les élus PG avaient faite.

    Curieusement, ce traitement tronqué ne fait pas état de notre engagement sincère et désintéressé sur ce sujet de gratuité à laquelle, et c’est important, nous ajoutons d’usage.

    De plus nous, qui avons naturellement tendance à défendre la veuve et l’orphelin, sommes accompagnés par Pascaline Brisset qui elle aussi n’a pas été sollicitée semble-t-il...

    Un fait est certain et vérifiable : notre logo fait état de trois axes qui sont « éco-citoyenneté, gratuité et solidarité ». N’est-ce pas suffisant ? Pour rappel, et c’est factuel,  en ce qui nous concerne, nous avons proposé (des élus PG), sous la présidence de Robert Richard et ensuite à la CDC cette gratuité d’usage. En 2014, la liste « Résistons par les Actes », conduite par Brigitte Bonneau faisait état de cette nécessité et en avait justifié l’intérêt. Nos propositions pour 2020 - au nombre de 115 - reprennent cette volonté marquée de notre engagement politique. En prendre connaissance sur le Blog « Notre Territoire En Commun » et Facebook (quand nous ne serons plus  ostracisés).

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    Le terme 'd’usage' a pour nous une grande importance, car il renvoit au fait que ce sont nos impôts qui règlent le coût de fonctionnement des bus. La part de recette des usagers correspond à 4,5% du coût total (2014) et peut donc être prise en charge par nos impôts, au regard des enjeux bénéfiques de sa mise en œuvre.

    En effet, l’objet de cette gratuité d’usage, c’est un choix de société  éminemment politique et qui s’impose à nous. Ce choix est constitutif de notre ADN, au regard des enjeux environnementaux et sociétaux. Le but c’est bien de réduire les déplacements individuels, source de pollution et de nuisances diverses... Mais c’est aussi permettre aux plus modestes d’entre nous, qui sont privés de moyen de transport individuel et qui sont donc bloqués pour avoir  une insertion sociale et économique, d’avoir accès à une mobilité.

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    N’en déplaise à Jonathan Muñoz, les voyages à un 1€ et les 10 à 8€, ont un coût difficilement abordable pour les plus modestes d’entre nous. C'est de là que vient la sous-utilisation des transports en commun ! La conséquence directe est une fréquentation qui ne correspond pas aux besoins.

    De sa fenêtre, confortablement installé et « bien au chaud », dans une posture purement gestionnaire, cela peu paraître comme une gageure de mettre en œuvre cette gratuité. Je renvois les sceptiques à un reportage de « Envoyé Spécial », du 28 novembre, qui montre que les humbles comptent leurs dépenses au centime près.

    Oui, merci au RN et à Morgan Berger qui pensent avoir fait une trouvaille : c’est bien de la compétence de l'agglo ! Et alors ? Les élections à venir sont là aussi pour avoir un projet et un portage politique sur l’agglo ! Soit dit en passant le maire et son équipe ne géreront plus que les crottes de chiens, les caméras de la place François 1er et la plantation des chrysanthèmes... C'est sans doute amplement suffisant pour les adepetes de la gestion pure et simple qui auront beau jeu de rejeter les responsabilités sur les autres institutions !
    Par ailleurs, pour tous les prétendants au trône, l’analyse des besoins sociaux sur Cognac fait ressortir que :
    1. 20% de la population Cognaçaise est pauvre,
    2. 40% travaillent dans une autre commune,
    3. 30% de la population a plus de 60 ans, 
    4. 35% a moins de 30 ans,
    5. 27 % vivent seuls.
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    Il y a là un vivier d’utilisateurs potentiels. Cette gratuité d’usage doit s’accompagner et s’inscrire dans un  ensemble de mesures comme les aires de covoiturage, le maintien des Services Publics et des commerces de proximité, etc, etc...

    Donc venons-en au fait qui nous inquiète : il y a-t-il un mauvais sort à notre endroit, après « Face de bouc » qui nous prive de faire état de nos propositions politiques ?
    Voilà maintenant que le journaliste qui a écrit cet article s'y met aussi alors qu'il nous a habitué à plus d’intégrité et de neutralité (article du 24 octobre 2019, mais aussi CL avec l'article du  29 avril «  la gauche radicale se met en marche » de Julie Pasquier). Ce journaliste, qui connaît par ailleurs l’histoire politique du Cognacais, n’est pas censé ignorer notre sensibilité et notre positionnement sur ce sujet.
    De plus la Presse reçoit nos commentaires politiques à propos de l’information qu’elle distille dans ses journaux, puisque nous leur adressons quand nous la diffusons en ligne sur notre blog « Notre Territoire En Commun » !
     
    C'est un oubli, et nous en sommes convaincus, car il ne peut en être autrement quand on est animé d’un souci égalitaire et non partial du traitement de l’information. Déontologiquement ça n'est pas acceptable !
    C'est un oubli préjudiciable à l’expression démocratique. Nous demandons de pouvoir exercer un droit de réponse.

    C'est donc tout naturellement que nous attribuons une  []pour l'article et  [] pour les listes concurrentes qui, décidément, s'obstinent à ne pas vouloir faire vraiment de « l'éco-social ».

    Pour le Comité de Pilotage
    Serge Lebreton

    CL 27/11/2019

    « 20 M€ pour améliorer la qualité de l’eau »

    Cliquer sur l'image pour lire
    Cet article appelle de notre part quelques commentaires concernant cette situation inacceptable.

    Notre eau n’est pas de bonne qualité et elle dépasse les normes de  potabilités. À qui la faute ? Aux pollueurs et à nos élus qui devaient prévoir , anticiper, protéger... Qu’ils dégagent !

    En effet le surcoût moyen pour rendre l’eau consommable en FRANCE est de 12 à 13%, en raison des nitrates et des pesticides. En Charente c’est plus !
    Par ailleurs, il est précisé que seulement 22% des masses d’eau de notre bassin sont en bon état. Quel aveux ! C’est de l’inconséquence, de l’incompétence, de l’ignorance de la part de tous ceux qui ont présidé aux destinés politiques de notre territoire.

    En ce qui nous concerne, la santé de nos concitoyens est menacée et c’est trop grave pour laisser les choses en l’état. Après une étude indépendante :
    1. nous interdirons de consommer l’eau du robinet
    2. nous ferons prendre en compte le surcoût du traitement par les pollueurs (payeurs)
    3. nous ne laisserons pas le temps à la profession viticole de s’adapter comme il est préconisé, car nous interdirons l’utilisation des nitrates et des pesticides sur l’ensemble de « Notre Territoire en Commun » 
    4. nous ne verserons pas dans la petite mesurette alibi
    5. nous nous attaquerons à la source du problème.
    Nous en faisons le serment !
    Le Comité de Pilotage
    Pour  tous ceux qui ont failli   []

    SO 24/11/2019

    Toutes les épines ne piquent pas...

    Rappelons d'abord que nous ne mettons pas la Presse locale sur le même plan que la Presse nationale qui est aux ordres et aux mains de quelques oligarques corrompus.

    C’est pour cela que nous attribuons une

    [] à Sud Ouest pour avoir relayé notre courroux en direction de Facebook qui nous a censurés. Merci encore ! 

    []









    CL 26/10/2019

    Merci à CL de rétablir les faits, en publiant, pour l'essentiel, notre droit de réponse dans un « En vue », ce qui lève toute ambiguïté.

    Pour finir, nous ajoutons cette affirmation qui figure en fin de notre droit de réponse :
    « Il va falloir s'y faire, nous ne fonctionnons plus dans le cadre politique traditionnel et quand nous disons liste citoyenne 'c'est du sérieux' », sans oublier « Nous avons écrit ce droit de réponse, vous l'avez compris pour la transparence de notre démarche. »

    Pour terminer sur un clin d'œil, le bilan est globalement positif, ce qui motive une  , largement méritée ! Donc [] 

    CL 26/10/2019

    Cognac: Jonathan Muñoz veut tester les dimanches sans voiture

    Cliquez sur l'article pour le lire
    Spectaculaires « les dimanches sans voiture !... Chaque dimanche entre la Fête de la musique et le festival Coup de Chauffe » ! Oui une bonne idée à débattre dans le cadre des Conseils Citoyens !!!

    « L'ADN vert » de J. Munõz qui ne se veut pas opportuniste, est un plagiat de plus dans sa façon de parler, calquée sur l'expression de la liste citoyenne « Notre Territoire en Commun ». Serge Lebreton disait : « Nous avons toujours été pour la règle verte, qui est dans notre ADN pour tous les domaines de la politique, reprend Serge Lebreton. Et ce n’est pas un effet de mode. Nous, on y croit et tout le spectre de nos actions passe par ce prisme. »

    Ce soit disant ADN ne l'a pas incité à intervenir en deux mandats auprès du Maire sortant pour remédier à la pollution viticole et mettre en œuvre ses propres propositions : des cantines bio, de l'électricité verte, la plantation d'arbres, des panneaux solaires sur las bâtiments publics, aider à l'installation de maraîchers bio. Toutes ces propositions nous les avions faites en 2014 et nous les reproposons pour 2020. Elles sont accessibles depuis Mars 2019 sur notre blog et notre compte Facebook et ce avant qu'il ne se déclare candidat !
     
    De plus, il déclarait ne pas vouloir « aller à la chasse aux écolos » en juin et là, il reconnaît implicitement qu'il le fait : « toutes les listes vont parler de transition écologique » (voir l'illustration de cet article agrandie).

    C'est sans doute pour cela qu'il se réveille et se décide à enfin envisager, vaguement, la reconversion des serres municipales :

    Les serres municipales pourraient être proposées « pour un complément d’activité à un maraîcher souhaitant s’installer sur l’agglo. » peut-on lire... Que ne l'a-t-il envisagé plus tôt, lorsque l'équipe municipale en place se débarrassait des serres ! À l'époque, le jeudi 9 mars 2019, nous avions écrit : « Nous utiliserons  les serres municipales pour développer une culture bio et de proximité, afin d'alimenter les écoles, les maisons de retraite et participer ainsi au développement des cultures maraîchères ! » (lire la suite...) Sans doute lui avons-nous, encore une fois, donner des idées !

    Il est bon de rappeler succinctement le rôle politique d'un Directeur de Cabinet (Dircab). Un Dircab est l'homme de confiance du Maire. Il doit, entre autre, l'aider à forger sa décision. Il doit, par ailleurs, en toute logique, adhérer à la stratégie retenue par le Maire et la défendre. Par ailleurs, il a donc la capacité d'influer sur les choix de la municipalité ! Pour l’opportunisme politique de l'intéressé Donc  [??]

    SO 26/10/2019
    Muñoz verdit le ton


    Le commentaire précédent (CL 26/10/2019) est tout à fait adapté à cet article du même jour.

    Par contre il mérite des réponses sur des sujets qui n'ont pas été abordés dans celui de CL.


    Il en va ainsi de « la police verte, du plan mobilier urbain qui favoriserait le tri sélectif. »Là encore, la prise de conscience arrive bien tard : qu'est-ce qui a été fait dans ce domaine ? Ah ! Oui, le Partenariat Public Privé Véolia a été maintenu non sans annoncer pour plus tard le passage du ramassage des déchets en régie publique (Agglo) ainsi que l'eau en régie publique... L'équipe sortante s'est contentée de mettre en place la distribution de composteurs gratuits (c'est bien, mais un peu insuffisant !). les termes pompeux sont de sortie : « police verte [ et ] plan mobilier urbain* ».
    1. Police verte ? : pour nous, c'est une mission qui pourrait incomber à la police municipale, police de proximité, de médiation. Pour cela : pas besoin d'armes de quelque nature que ce soit. La police nationale est là pour ça.
    2. Plan mobilier urbain :  pourtant dernièrement, le choix du renouvellement des panneaux publicitaires s'est fait sans prise encompte de l'autonomie en énergie solaire et en négligeant les effets de la pollution lumineuse). Cela prouve bien qu'il s'agit de déclarations cache sexe, voire fausses.
    Pour notre part, la consultation de notre programme de 2014 et les propositions élaborées depuis mars 2019, prouvent que nous n'avons pas attendu et qu'elles restent toujours très inspirantes. C'est factuel :
      1. 2020 : Le premier adjoint aura pour mandat LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE
      2. 2020 : Achat d’énergie verte
      3. 2020 : Plantation d'arbres en ville, dans les cours d’école, sur la voirie et parkings
      4. 2020 : Commune sans pesticides et arrêté communal d'interdiction totale des pesticides
      5. 2020 : Mise en place de cendriers et interdiction de jeter des mégots dans les rues, après action de sensibilisation
      6. 2020 : Mise sous alimentation solaire des panneaux d'information
      7. 2020 : Création dune régie municipale maraîchère (serres Révico)
      8. 2014-2020 : Transformer les parkings imperméabilisés en parking écologique (loi ALUR qualité de vie et gestion des eaux pluviales). Exiger pour tous nouveaux projets cette mise en œuvre.
      9. 2014-2020 : Partout où cela est possible, réaliser des trottoirs en herbe.
      10. 2014-2020 : Plan vélo et développement important des pistes cyclables
      11. 2014-2020 : Approvisionner les cantines en bio et circuits courts
      12. 2014-2020 : Mettre en place une politique d’achat local et durable.
      13. 2014-2020 : Création d’une ceinture maraîchère bio
      14. 2014-2020 : Plan pluriannuel de passage des bâtiments publics en fonctionnement économes (panneaux solaires, récupération des eaux pluviales, végétalisation.
    Toutes nos propositions sur notre blog et notre page Facebook.
    * « Premier effet visible de cette convention, Calitom s’engage à installer des « points d’apports volontaires enterrés » (Pave). Autrement dit des sortes de cuves de grande contenance avec trois parties, tout-venant, verre et recyclable. »

    Pour l'opportunisme politique de l'intéressé, le manque d'imagination et le plagiat systématique. Donc  []

    SO  et CL 19/10/2019

    FAIRE BOUGER LES LIGNES : PAS FACILE DANS CE VIEUX MONDE !
    Tout le monde en convient et en appelle à faire de la politique autrement et ce au regard du désaveu des ancestrales pratiques journalistiques et politiques. Pourtant les vieilles ficelles, stratégies et modes de communication trompeurs et endormeurs demeurent.


    En effet, ce qui fait événement pour la presse, en ces temps pourtant éminemment politiques, c’est le sensationnel, l’impudeur arrogante, les plagiats, les petites phrases assassines, le culte du secret, les petites manœuvres, le nom d’une liste et de celui ou de celle qui l’incarnera, tout cela au détriment du fond !

    « En vue »de La Charente Libre et l’entrefilet de Sud Ouest en sont les illustrations et relèvent d’une mazarinade.


    Nous n’avons pas de tête de liste, car nous avons fait un autre choix : celui de parler de notre programme, de le co-construire en le divulguant au vu et au su de tous, afin qu’il fasse l’objet d’une appropriation, de propositions et d’amendements.

    Force est de constater que nous sommes les seuls à le faire...


    Dès lors, nous n’existons pas, et ne sommes pas mentionnés ni dans l’article de La Charente Libre « Pascale Brisset baptise SA liste », ni dans celui de Sud Ouest « L'inspiration du slogan » !


    Pourquoi ce traitement ?


    Derrière cette approche bêtifiante de l’action politique se cache un vide sidéral : l’absence de propositions des autres listes et un traitement « complice » de cette situation.


    « L’entrefilet » de Sud Ouest de ce jour est de la même veine que celui de La Charente Libre. Il traite de la difficulté de trouver un nom pour une liste. Nonobstant cette « difficulté »l'article ne relève pas, comme celui de La Charente Libre,que chaque liste utilise « Cognac » dans la déclinaison de son intitulé sauf nous.

    Ce simple fait aurait pu faire l’objet d’un traitement journalistique à mon humble avis.


    Que dissimulent ces noms de liste : duperie, tromperie, stratégie de communication, absence de réflexion, amateurisme, volonté de cacher la réalité politique de notre bassin de vie…..


    Aujourd’hui, une grande partie des compétences a été transférée à l’agglomérationd’où le nom de notre liste « Notre Territoire en Commun » ce qui prouve donc toute sa pertinence.


    Par ailleurs, délibérément, le nom de notre liste s'inscrit dans la continuité politique de« L'Avenir en Commun », programme des présidentielles et  de « l'Europe en Commun ». Nous affirmons donc le prima et la paternité de notre liste quant à son intitulé.


    Au regard de ce traitement de l’info et de la communication mise en œuvre par les autres listes cela relève pour nous  du plan plan, de l’endormissement et de la sous information par la presse, qui ne s’attache pas à l’essentiel : le fond.


    La question reste posée, comment re-politiser le débat et permettre l’implication sur le fond des citoyens, à la construction de notre TERRITOIRE. La presse et ceux qui s’engagent pour cette campagne politique ne doivent pas oublier cette nécessité et s’y employer.


    Citation de G Orwell pour la circonstance (en gras mes rajouts ou modifs ) :

    Le discours politique et son traitement est destinés à donner aux mensonges ou omissionsl’accent de vérité et d’intérêt à rendre le meurtre respectable de l’absence de FONDet à donner l’apparence d’un contenuà un simple courant d’air.


    Doit-on se résigner à incarner le vide pour exister ? Pour notre part, nous persistons à privilégier le fond ! Donc  []


    Serge Lebreton, la tête de liste putative de « Notre Territoire en Commun » !


    SO 27/06/2019 et CL 27/06/2019
    Société de surveillance « Souriez vous êtes filmés »*
    * Laurent Muccholi (Enquête sur le bluff de la vidéo surveillance)

    La sécurité, les besoins qu'elle suscite, les fantasmes qu'elle alimente, les dérives qu'elle autorise et les mécanismes qui la mettent en œuvre occupent une place bien souvent utile dans l'espace politique de notre société pour occulter les causes de cette insécurité.

    Le maire de Cognac a définitivement tourné le dos à cette Gauche humaniste, cette Gauche qui proposait, pour ne pas sombrer dans cette facilité du « tout sécuritaire », une offre politique de sociabilité de cohésion sociale, de « vivre ensemble », de prévention et d'accompagnement. Cette Gauche que le PS a concouru à discréditer

    En effet, il s'inscrit dans le discours dominant et d'une montée en puissance du « tout sécuritaire » qui se développe pour toute réponse aux « incivilités ». Pour nous, cette insécurité résulte d'une société de consommation de plus en plus inégalitaire et fragmentée.

    Au regard de ces propos, à Cognac, rien ne justifie cet arsenal sécuritaire qui va, comme bien souvent, déboucher sur une criminalisation des incivilités et ne les apaisera pas. Ces réponses, d'une façon plus globale dites sécuritaires, augurent de l'instauration d'un régime totalitaire.

    Ces caméras, outils de captation d'images et de sons, au sein de l'espace public, réduit nos libertés individuelles et collectives, et portent atteinte à la vie privée (Big Bother vous guette !).

    À cette étape, nous nous permettons de citer Michel Foucault : « La surveillance  devient permanente dans ses effets même si elle est discontinue dans son action. Ces contrôles généraux et filmés créent une prison sans mur »

    En ce qui nous concerne, proposer une réponse technique à un problème sociétal n'est pas la bonne réponse, donc cela ne marchera pas. Pour nous elle relève d'un nouveau contrat social :  elle devrait être humaine (médiation, proximité, écoute, présence, échange, îlotage) mais aussi, et c’est essentiel, indiquer une direction vers une société équitable qui supprimera les inégalités sociales et spatiales, source de cette délinquance. Donc  []
    Ni haine, ni mépris
    Serge Lebreton

    SO 19/06/2019
    Ça roule aujourd'hui pour la STGA selon Pierre-Yves Briand, vice président en charge de la mobilité pour Grand Cognac...

    Quand nous siégions à la Communauté de Communes de Cognac, nous dénoncions les DSP et nous préconisions la gratuité des transports. Monsieur Briand ne nous avait pas suivi...

    Passage de l'article traité
    Cliquer sur l'image
    pour lire
    La Communauté d'agglo (cf. article Ça roule pour le réseau de bus de Grand Cognac), par la voix de P.Y. Briand, se félicite de l'accord trouvé avec la STGA, tiens ! Tiens « il y a plus de souplesse qu'avec le gestionnaire précédent et la fréquentation a augmenté de plus de 20% » : à l'époque, monsieur Briand était pro DSP (Délégation de Service Public), Tiens, tiens ! Á présent, il reconnaît toutes les vertus de la STGA (la STGA est un service public inter communal) ! Donc  [] Pour l'opportunisme, pour savoir reconnaître ses erreurs (?) []
     
    SO 20/06/2019
    Quelle incurie  !

    Effectivement le CDAC (Comité Départemental d'Aménagement Commercial) donnera raison au promoteur (c.f. article Le maire veut interdire une zone commerciale).

    Un arsenal juridique maintenant : cela ne sert plus à rien !

    Un policier municipal qui va vérifier : mesure non efficiente et dérisoire, car le promoteur a l'obligation de respecter les lois.

    Á l'époque, nous avions la solution ! Il y a un PLU (Plan Local d'Urbanisme). Ce dernier aurait dû éviter que cette zone, comme d'autres, soit ouverte à l'appétit d'investisseurs, au détriment de notre environnement (imperméabilisation des sols, paysage urbain dévisagé et concurrence aux commerces du centre ville).

    Cette zone, où il y avait 2 maisons individuelles qui ont été écrasées (nous ne l'aurions pas accepté), pouvait devenir un lotissement, dans la continuité des constructions face au CFA (rue du Repos, à proximité du cimetière de Crouin). En effet le Maire se plaint de ne pas avoir de de réserve foncière pour accueillir de nouveaux habitants.

    Si nécessité, Nous aurions, nous préempter pour un projet d'intérêt communal, dans le cadre du PLU. Donc  [] Pour l'incompétence

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