Silence étourdissant de nos élus sur la perspective d'une reprise des classes après le 11 mai !
Nous
venons de découvrir
que l’école n’est plus obligatoire et égalitaire dans la
dispense de ses savoirs. En effet, le volontariat qui dictera de
mettre ses enfants à l’école ne sera-t-il pas conditionné par
la situation sociale des parents ? Faire reposer une telle décision
uniquement sur les épaules des parents est une démarche odieuse.
Donc, si nous étions en
responsabilité, après consultation des
salariés de la mairie, des enseignants et des parents, nous
prendrions la décision de ne pas rouvrir les écoles. En effet, nous
ne serions pas en mesure de mettre en place un process sécuritaire
et égalitaire pour protéger et ce de façon efficiente
l’ensemble des personnes se trouvant dans nos écoles.
Cette position, nous souhaiterions que
la communauté d’agglo la prenne en
s’appuyant sur la décision du conseil scientifique qui préconise
une reprise de l’enseignement en septembre.
Nous proposerions en responsabilité
et par choix, comme nous l’avons fait déjà évoqué (Le temps de s'indigner : tous au boulot au nom des problèmes sociaux !), d’ouvrir une à trois classes, dès la décision de confinement le 16 mars. Déjà, à cette date il y avait « urgence éducative et sociale » pour les élèves en difficulté qui ne pouvaient pas avoir accès à
internet, dont les parents sont en difficulté économique et n'ont pas les moyens pour transmettre un savoir scolaire. Nous préconisons donc un accueil pédagogique, ce
qui limite les risques en limitant celui-ci aux enfants en difficulté.
Les personnels travaillant dans ces écoles, seraient volontaires et accompagnés de
bénévoles pour élever le taux d’encadrement; afin que les
consignes de sécurité soient respectées. Masques, gel horaires décalés, sens de circulation et toutes
les mesures nécessaires seraient mis en œuvre pour accueillir 10
élèves par classes. Les moyens à mettre en œuvre seraient
conditionnés et ajustés au nombre d’enfants nécessitant cet
accompagnement, pour éviter qu’ils ne décrochent totalement. Si les enseignants utilisaient leur droit de
retrait, nous proposerions aux mêmes enfants du soutien scolaire avec
accès à la cantine.
Sans rentrer dans le détail, il nous
semblait que les prétendants à la destinée de notre territoire
devaient avec courage et lucidité prendre position et non rester
aphones !
Ce qui prime pour nous, et c’est ce
qui a conduit à ce confinement et certaines mesures liberticides
que nous condamnons, c’est de faire de la politique, de consulter, de
faire en toute conscience et en SÉCURISANT NOS CONCITOYENS. Cela
nous semble plus important que de savoir si le marché couvert ou le
stade de rugby soient restaurés.
L’HUMAIN D’ABORD !
Le comité de pilotage
Didier Raoult : entretien sur BFM TV
Caroline Fiat «Maintenant, ils ont intérêt à me prendre au sérieux parce que sinon, ils vont manger»
La Compagnie Jolie Môme (leBigBazar Rouge), vous présente une chansonnette pour le confinement en l'honneur des soignant(e)s et des soigné(e)s.
À vos Balcons et fenêtres à 20h00.
Muriel Pénicaud
: Abandon des poursuites contre Anthony Smith !
Abandon des poursuites contre Anthony Smith !
Pourquoi
? ll a été mis à pied par la Ministre du Travail Muriel Pénicaud.
Que
lui reproche-t-on ? D’avoir prescrit l’utilisation de masques
pour les aides à domicile, tout en adressant régulièrement des lettres
de rappel de la réglementation aux entreprises de son secteur.
En
réalité, Anthony Smith a simplement fait son travail : protéger
les salariés.
La
décision de la Ministre du travail est proprement honteuse !
Exigeons
la levée immédiate des sanctions contre Anthony !
|
« Ce pays vit. Partout où ne règnent pas le pouvoir et l’argent, ce pays vit. »
Frédéric Lordon
Patience
17/04/2020 in Le Monde diplomatique
Bien sûr il y a d’abord la souffrance physique (de ceux qui sont malades), la souffrance morale (des proches, des soignants), la souffrance psychique (du salariat chair à canon). Mais il y a aussi, pour bon nombre d’autres, la souffrance politique : assister à ce délire, et n’y rien pouvoir. À un moment, on en revient toujours à l’os : la politique, c’est la co-présence des corps parlants — et agissants. L’épidémie met en panne la politique. Elle ne laisse debout que le gouvernement — qui, précisément, prospère en étant séparé. Et n’aime rien tant que les sujets à l’isolement.
Covid-19 : entre nos vies et le profit, Macron a choisi
L'École détruite comme l'hôpital l'a été...
Comme
à son habitude François Cocq vient de produire un très bon
article à propos de l'École livrée aux libéraux de tous bords.
Il
tombe à pic et donne un éclairage
précieux et complémentaire à notre
publication du 16/04.
|
Macron
et son ministre Blanquer peuvent bien prêcher l’usage des gestes
barrières, ils sont de ceux qui dans les faits cherchent à abattre des
digues. De manière cynique, ils instrumentalisent la crise du
coronavirus pour réduire l’école à sa visée utilitariste et réaliser les
vieilles lunes libérales en matière d’éducation. Jusqu’à réduire élèves
et enseignants au rang de dommages collatéraux d’une guerre que Macron
entend de plus en plus livrer au nom du grand capital.
Vendredi 17 avril 18 h 30
Le temps de s'indigner
Tous au boulot au nom des problèmes sociaux !
Décidément, on n'a pas encore tout vu avec ce
malade à la tête du pays et un gouvernement d'incapables soi-disant
contrôlé par une majorité parlementaire tout aussi incompétente et hors
du temps !
- Balayons le côté social. Si tel était le cas, il fallait déjà envisager ce problème, il y a un mois ! Comment ne pas voir que les gosses sans ordi étaient désavantagés, voire abandonnés ? Dès le début, il fallait des modalités spécifiques pour ces enfants et les gens en difficultés sociale et de savoirs. On pouvait traiter le problème de la même façon que pour les enfants de soignants et aussi en demandant aux parents de récupérer des documents papier à l'école. Donc c'est un prétexte noble pour cacher l'évidence : faire travailler les parents et donner satisfaction au grand patronat !
- Comment peut-on envisager un restaurant scolaire dans les conditions du COVID-19 et de même pour le bus, les récréations, alors même que l'on maintient fermés les restaurants de ville ?
- Même avec une reprise le 11 mai, les dégâts sont déjà faits pour une majorité d'élèves. La rentrée de septembre présentera les mêmes manques que le 11 mai. On ne se remet pas au travail de la classe en 2 coups de cuillère à pot ! c'est plus long qu'il ne semble.
- Comment est-il possible de faire avaler que le virus porté, c'est certain, par nombre d'enfants se tiendra bien tranquille et ne sera transmis à personne, alors que ce sont les enfants qui sont les meilleurs transmetteurs !!! Ah, oui, c'est vrai, brusquement, depuis la décision du 11 mai, il serait question que finalement on se serait trompé et des travaux seraient entrepris pour démontrer le contraire de ce qui a été affirmé et réaffirmé le 13 mars !
- Quid des enseignants qui vont morfler grave parce que les gestes barrières : nada et que dans une classe on touche les élèves, on touche les objets ? Vous voyez le nettoyage régulier se faire tout au long de la journée ?
- À propos des effectifs réduits : avec quels personnels ? Miracle, on résout tout d'un coup de baguette magique !
- Soyons
sérieux et travaillons dès maintenant avec, notamment, les enseignants
et tous ceux intéressés par la question aux conditions de la rentrée de
septembre.
Il y a du pain sur la planche : redoublements ou pas, fermetures de classes ou pas, aménagement des programmes, fonctionnement des classes et de l'École, etc...
Tout ça c'est du pipeau et l'intérêt de tous c'est de faire la
rentrée en septembre/octobre en réorganisant les classes et les
programmes. Il ne suffit pas de dire que le plus important c'est la
santé, encore faut-il y croire !
Mot d'ordre syndical évident : Personne ne reprend !
*
*
« Tout le personnel hospitalier mérite une prime Edouard Philippe, pourquoi uniquement les soignants ?
Ils méritent tous la même prime, arrêtez de toujours diviser, tous les personnels hospitaliers sont sur le qui vive depuis le 1er jour, qu’il y ait beaucoup de cas ou non dans leur région!
Le médico social ne doit pas être encore le grand oublié !
En plus de cette prime, il faut de suite revaloriser les salaires et donner les moyens humains et financiers à ces personnels de traiter dignement leurs patients - résidents.
Apprenez des erreurs du passé et que ces 20 dernières années d’austérité sur la santé ne soient plus qu’un horrible souvenir, désormais donnons les moyens nécessaires à notre système de santé ! »
Ils méritent tous la même prime, arrêtez de toujours diviser, tous les personnels hospitaliers sont sur le qui vive depuis le 1er jour, qu’il y ait beaucoup de cas ou non dans leur région!
Le médico social ne doit pas être encore le grand oublié !
En plus de cette prime, il faut de suite revaloriser les salaires et donner les moyens humains et financiers à ces personnels de traiter dignement leurs patients - résidents.
Apprenez des erreurs du passé et que ces 20 dernières années d’austérité sur la santé ne soient plus qu’un horrible souvenir, désormais donnons les moyens nécessaires à notre système de santé ! »
Question au gouvernement de Caroline Fiat (cliquez pour lire) |
CORONAVIRUS - Le tracking, un danger pour la libertéCoronavirus: contre le “tracking”, pour une politique de santé publique émancipatrice
Danièle Obono et Ugo Bernalicis, députés LFI membres de la commission des lois
Caroline Fiat, députée LFI Aurélie Trouvé, porte-parole d’ATTAC Gwen Fauchois, ancienne vice-présidente d’Act Up Act Up Sud PTT La surveillance numérique de masse n’est pas un instrument de santé publique pour lutter contre le coronavirus. Elle est un danger pour nos libertés fondamentales.Non assistance à personne en danger : l’État responsable - Commission d'enquête Covid-19 |
Assurance « Tourisme »
Maintenant les citoyens de cette planète ont compris la corrélation
entre notre mode de production, de consommation et les événements
climatiques et les pandémies de tout poils à venir. La diminution de la
biodiversité, les catastrophes climatiques, la fonte des glaces, l'érosion des
littoraux, l'abattage massif des forêts tropicales, la malbouffe et les
maladies qui en découlent, etc... ont pour origine la course effrénée à
l’argent.
Dès lors, même localement, il faut faire les bons choix. Nous n’en
sommes pas convaincus tellement le capitalisme, aidé par la presse, se
fait encore le chantre du libéralisme et de la politique
politicienne. Nonobstant cela, nous continuons à espérer un nouveau
paradigme
Le maire de Cognac encore en fonction, son héritier, le président du département, son
représentant Jean-Hubert Lelièvre mais aussi le président de l’agglomération, pour ne
citer que quelques édiles, ont misé sur le tourisme comme étant l’alpha
et l’oméga du développement économique de notre territoire. Ce
choix s’inscrit dans une volonté nationale qui a conduit à
désindustrialiser notre pays au profit principalement de la Chine, a
laissé
la recherche aux USA et les profils aux paradis fiscaux.
Ces choix ont fragilisé notre économie et rendu notre balance commerciale déficitaire. Nous avons toujours condamné cette approche qui a fait fermer ou céder bon nombre de nos entreprises et leur savoir-faire pour développer l’offre touristique, en proposant pour partie des emplois de saisonnalité, peu rémunérateurs et en CDD.
Dans le cadre d’une récession économique comme actuellement et quelle qu’en soit l’origine par la suite, le tourisme sera le premier secteur concerné. Hôtellerie, restauration, agence de voyage, site touristique, transport, mais aussi les entreprises partenaires approvisionnant ce secteur.
La campagne municipale relayée par la presse s’est contentée d’une approche des programmes par le petit bout de la lorgnette, excluant de fait les vrais choix politiques pour notre territoire
La solution pour notre territoire n’est pas d’investir dans un marché couvert neuf ou dans un stade de rugby ou dans des caméras place François 1er, mais bel et bien dans une économie relocalisée répondant aux besoins essentiels des citoyens. Une économie pérenne plus inclusive, respectueuse de notre environnement, créatrice d’emplois non délocalisables. Par exemple :
Notre programme politique de territoire intégrait cette volonté de faire autrement et cette dimension de transition et de planification écologique.
Ces choix ont fragilisé notre économie et rendu notre balance commerciale déficitaire. Nous avons toujours condamné cette approche qui a fait fermer ou céder bon nombre de nos entreprises et leur savoir-faire pour développer l’offre touristique, en proposant pour partie des emplois de saisonnalité, peu rémunérateurs et en CDD.
Dans le cadre d’une récession économique comme actuellement et quelle qu’en soit l’origine par la suite, le tourisme sera le premier secteur concerné. Hôtellerie, restauration, agence de voyage, site touristique, transport, mais aussi les entreprises partenaires approvisionnant ce secteur.
La campagne municipale relayée par la presse s’est contentée d’une approche des programmes par le petit bout de la lorgnette, excluant de fait les vrais choix politiques pour notre territoire
La solution pour notre territoire n’est pas d’investir dans un marché couvert neuf ou dans un stade de rugby ou dans des caméras place François 1er, mais bel et bien dans une économie relocalisée répondant aux besoins essentiels des citoyens. Une économie pérenne plus inclusive, respectueuse de notre environnement, créatrice d’emplois non délocalisables. Par exemple :
- des commandes et dépenses publiques intégrant systématiquement des critères environnementaux
- développer les cultures maraîchères
- favoriser la création d’entreprises de productions tournées vers la fabrication de réponses prenant en compte la crise écologique etc.
Notre programme politique de territoire intégrait cette volonté de faire autrement et cette dimension de transition et de planification écologique.
Macron confisque la refondation
François Cocq
L’intervention du chef de l’État était attendue. Pourtant très vite,
l’assoupissement gagnait jusqu’aux plus attentifs. Même rhétorique
guerrière qu’il y a trois semaines, même stratification de la société en
lignes de front, même aveux d’impuissance : pour un peu on aurait cru à
une rediffusion !
SONDAGE – Coronavirus : les propositions de la France insoumise très largement soutenues
C’est un sondage Viavoice pour Libération qui fait trembler les néolibéraux. Paru ce mercredi 1er avril,
il donne une vue d’ensemble sur les aspirations des Français et leur
vision du monde suite à la crise du Coronavirus. Résultat ? Une très
large majorité de personnes souhaite des changements importants dans
notre mode de production, notre économie et demande une meilleure
protection de nos biens communs. Des idées qui rejoignent très largement
les propositions de la France insoumise.
Coronavirus : l'article à lire avant de fabriquer et porter un masque en tissu
Alors
que les autorités recommandent désormais le port du masque dans les
lieux publics, de nombreux modèles de masques en tissu sont disponibles
sur internet.
Rassurants, efficaces, ou inutiles, voire dangereux… Depuis le début de l'épidémie de coronavirus, tout et son contraire a été dit au sujet des masques confectionnés à la main pour se protéger face au Covid-19.
Qu'en
est-il réellement ? Pourquoi le discours officiel sur le port du masque
a-t-il évolué ? Comment se procurer ou se fabriquer des masques en
tissu ? Voici la réponse à vos questions.
Coronavirus : le compteur espion Linky permet aux apprentis dictateurs de "fliquer" les citoyens
Plus
que jamais il est recommandé de refuser les compteurs Linky et de se
battre pour faire enlever ceux qui ont déjà été posés...
Samedi
4 avril 2020, le quotidien Nice-Matin (*) a fait savoir que le maire de
Nice, M. Estrosi, avait saisi les services de l’État dans un but tout à
fait particulier : demander au distributeur d'électricité Enedis de
vérifier l'occupation des résidences secondaires, sous le prétexte de
lutter contre la diffusion du Coronavirus.
Or
une telle opération, qui relève d'un véritable de "flicage" de la
population, ne peut matériellement être réalisée que par le biais du
compteur Linky. En effet, Enedis ne peut pas déployer des agents sur
tout le territoire pour vérifier physiquement l'occupation des
habitations, dont les occupants peuvent d'ailleurs être paisiblement
calfeutrés et non détectable de l'extérieur.
Or,
de part sa capacité à comptabiliser en temps réel la consommation
d'électricité dans une habitation, et à envoyer en continu les
informations à Enedis, le compteur Linky confirme ce que ses opposants
dénoncent depuis plusieurs années : il s'agit bien d'un compteur espion,
un véritable "Big Brother" qui fait peser un très grave danger sur les
libertés publiques.
Aujourd'hui,
les apprentis dictateurs comme M. Estrosi prétendent qu'il ne s'agit là
que de s'assurer du respect des règles de confinement face au
Coronavirus, ce qui est déjà une méthode totalement contestable. Mais il
est évident que cette façon de surveiller la présence ou non des
habitants dans leur maison ouvre la porte, dans un avenir pouvant être
très proche, à des méthodes relevant du totalitarisme.
Sans
même évoquer l'arrivée possible au pouvoir d'un parti fasciste, il ne
faut pas oublier que l'exécutif actuel a lui-même démontré le peu de cas
qu'il faisait des droits humains (voir par exemple la façon dont les
Gilets jaunes ont été férocement réprimés).
Les opposants au compteur Linky dénoncent depuis des années (cf http://refus.linky.gazpar. free.fr),
outre les risques sanitaires (incendies, ondes), les désagréments
techniques (disjonctions continuelles, appareils grillés, etc) et les
conséquences sociales (coût du programme, augmentation des factures), le
fait que les compteurs communicants mettent gravement en danger les libertés publiques.
M. Estrosi vient de confirmer de façon tonitruante ce grave problème
qui ne sera réglé que par l'éradication des compteurs Linky, Gazpar et
cie…
Stéphane Lhomme
Conseiller municipal de Saint-Macaire (33)
Animateur du site http://refus.linky. gazpar.free.fr
Conseiller municipal de Saint-Macaire (33)
Animateur du site http://refus.linky.
Bigorre – Renaud de Bellefon ne veut plus présenter son attestation de circulation
Anne de Brouwer, Alain Bonneau, Merilu Solito, Michèle Setti et Renaud de Bellefon lancent un appel afin de ne plus présenter l’attestation de circulation.
« Il répond à une inquiétude que nombre d’entre nous, peut-être de plus en plus, partageons sur la privation de liberté aujourd’hui, l’instrumentalisation (réflexe et réfléchie, les deux peuvent exister conjointement) de la crise sanitaire actuelle par les pouvoirs en place, sur comment demain se dessinera (rattrapage du temps perdu à produire, consommer, etc ou prise de conscience d’un changement radical nécessaire ?). Ces inquiétudes sont partagées comme en témoignent ces deux documents, l’un du Syndicat de la magistrature, l’autre de l’observatoire des droits de l’Homme. Ce type de réaction n’est peut-être pas dans l’air du temps, ce temps où la peur tant du virus que du « flic », guide nos actes et positions. Néanmoins il faut partager ce questionnement de l’un d’entre nous « la santé ou la liberté, qu’est ce qui est le plus important ? Nous vous prions donc de le publier dans vos médias, car c’est un appel public nécessaire en ces temps de démocratie au ralentie. », explique Renaud de Bellefon.
N’abandonnons pas notre dignité dans une attestation de circulation
Coronavirus : le confinement, bon prétexte pour lancer la surveillance par drones ?
Il
y a encore quelques années, ces images appartenaient à la
science-fiction. Désormais, des drones sont déployés dans plusieurs
villes de France pour contrôler le respect des mesures de confinement en
pleine pandémie de coronavirus.
À Nice, un drone diffuse des messages demandant aux habitants de rentrer chez eux. utilisent un drone équipé de haut-parleurs pour faire appliquer les règles. Près de Nantes, aussi, les gendarmes ont sorti le drone pour surveiller un parc fermé aux promeneurs et joggeurs afin d’éviter la propagation du coronavirus.
Le 20 mars, le préfet de police de Paris, Didier Lallement, assistait aux premiers essais du nouveau dispositif de surveillance par drone dans la capitale. L’objectif : repérer plus facilement les citoyens qui ne respectent pas les mesures de confinement mises en place en pleine crise du coronavirus.
LFI : La perte de biodiversité favorise la transmission des maladies - Commission d'enquête Covid-19
LFI : Face à une pandémie, la santé est un patrimoine universel et mondial - Commission d'enquête Covid-19
LFI : Transdev va verser 23 millions d'euros de dividendes à ses actionnaires - Commission d'enquête Covid
Coronavirus - Réquisitions, nationalisations, loyers et médicaments : les propositions de loi de La France insoumise |
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