lundi 30 mars 2020
dimanche 29 mars 2020
Spécial Coronavirus
samedi 28 mars 2020
Covid-19, climat et environnement : 5 questions à se poser - Greenpeace et Les EHPAD - Grand Raout mondial - La France insoumise lance une commission d’enquête de suivi du Covid-19
vendredi 27 mars 2020
Solidaires mais quand on ne peut pas se taire...
Le discours de la honte
Macron
s’est exprimé une fois encore, une fois de plus, une fois de trop.
Macron s’est exprimé pour ne rien dire. Sinon pour essayer une fois
encore de faire la morale aux Françaises et aux Français et raffermir
par des mots que chacun sait pour lui vides de sens un pouvoir dont il
sent qu’il lui échappe. La « grande peur » de Macron n’est pas
sanitaire, elle est politique.
La mise en scène est sordide. Macron, devant l’hôpital militaire de
Mulhouse et une arrière-scène où l’on se représente les dépouilles qui
gisent et partout autour les soignants qui sans relâche fourmillent.
Privilégiant une fois encore la communication à l’action, Macron avait
un message à double sens à faire passer : il est le chef de guerre, et
la guerre nécessite l’unité nationale. Mais parce que la première
assertion est fausse et qu’il s’apparente bien plus à un déserteur ou un
traître, la seconde est dénuée de sens. Le discours en devenait dès
lors grotesque et honteux.
mercredi 25 mars 2020
À propos du coronavirus...
Quartier Constituant : Charlotte Girard
et François Cocq
Edwy Plenel
et François Cocq
Edwy Plenel
«Le monde d'après doit
commencer maintenant»
Lire la suite...
samedi 21 mars 2020
LFI : 11 mesures d'urgence pour la lutte contre le Coronavirus
Coronavirus : les 11 mesures d’urgence proposées par la France insoumise
« L’épreuve
sanitaire traversée par la France avec le Covid-19 place notre peuple
dans une situation inédite. La violence de la situation change le cours
de l’histoire. Les règles de fonctionnement de la société telle que nous
la subissons nous ont exposés au risque et nous condamnent au désastre
humanitaire si nous n’en changeons aussitôt que possible. Il faut agir
sur d’autres bases sans attendre « le monde d’après » que nous
promettent une nouvelle fois les responsables du désastre du « monde de
maintenant ». Dès à présent, l’intérêt général humain doit prévaloir
sur tous les intérêts particuliers. Le salut commun doit l’emporter sur
la loi du marché. »..
vendredi 20 mars 2020
Solidarité : oui et vigilance : INDISPENSABLE !
Plus que jamais solidarité VIGILANTE !
François Cocq
Article paru dans Martianne le 17/03
Lundi soir, Emmanuel Macron a donc parlé. Après que son Premier ministre
a pris la parole 48h avant. Après que Macron l’avait déjà eu fait deux
jours encore auparavant. La gestion de crise par le pouvoir s’apparente
chaque jour un peu plus à une navigation à vue, sans cap ni décision,
les mesures d’un jour contredisant celles de la veille. L’heure n’est
certes pas à la polémique stérile. Mais elle n’est pas non plus à
laisser les pleins pouvoirs sans droit de regard à ceux dont les choix
sont sujets à caution...
COVID-19 : MAUVAISE FOI ÉCŒURANTE DU MINISTRE VÉRAN ! (19/03/2020)
mardi 17 mars 2020
Premier tour des municipales : communiqué
Communiqué
Cognac
le 16/03/2020
à
12:00
FALLAIT-IL
organiser ces élections ? Pourquoi le gouvernement les a t-il
maintenues ? Quel calcul se cache derrière cette mesure ? Et
maintenant, quelle est la légitimité de ceux qui sont élus par un
citoyen sur deux ? Et demain, un deuxième tour, une validation
partielle des élections ou une invalidation ?
Analyse
sommaire
À
la lecture des résultats et du taux de participation, il apparaît,
à l’image de Cognac, que le pays se droitise, malgré la
détestation du macronisme.
Nous
sommes encore dans l’ancien monde politique. Les jeunes loups qui
rêvent d’être maire, les professionnels de la politique, les «
notables » et les sortants ont pour partie été réélus, malgré,
pour certains, des attitudes condamnables, comme par exemple les
maires de Bordeaux et d’Angoulême. Leurs programmes, sans réelles
propositions pour rompre avec la gestion quotidienne et mettre en
œuvre des solutions novatrices pour répondre aux enjeux sociétaux,
n’ont convaincu qu’un électorat traditionnel, enfermé dans une
vision passéiste des compétences des communes. En effet, elles sont,
pour les plus importantes, passées de la commune aux regroupements
de communes et plus généralement aux agglos.
L’écologie
« Jadocienne » qui se revendique d’un capitalisme vert
à progressé.
Le
PS moribond ne s’affichant plus, soutenu à l'occasion par LREM,
voire se qualifiant de divers gauche, semble globalement sauver sa
peau, malgré qu’il n’ait pas proposé un programme politique et
idéologique pour répondre comme nous le proposions aux trois
urgences : climatique, sociale et démocratique.
À
Cognac :
Les
différents programmes proposés aux électeurs cognaçais se sont
enfermés dans des mesurettes du quotidien qui ne se différencient
guère, ou seulement à la marge, et qui ne répondent pas à
l’attente d’un électeur sur deux.
LREM
peut se maintenir pour le deuxième tour, voire fusionner (avec
Jean-Hubert Lelièvre ?). Cela tend à affirmer que le lumpen
prolétariat ne s’est pas déplacé pour aller voter.
L’abstentionniste
est donc le premier vainqueur de ce scrutin. La démocratie et
l’aspiration des citoyens à un nouveau paradigme sont les premiers
perdants.
Une
bonne nouvelle : le RN régresse globalement et se retrouve
exclu du Conseil Municipal à Cognac.
Pour
le Comité de Pilotage,
Serge
Lebreton
vendredi 13 mars 2020
Lettre ouverte en réponse à l'alerte de Jonathan Muñoz
Cognac
le 13/03/2020
Notre
Territoire en Commun
À
Jonathan Muñoz
Cognac en Commun
Tu as téléphoné à Serge
Lebreton pour lui adresser un tract qui circule sur Cognac et
dont la teneur t'a surpris et interpellé.
Un
tract distribué anonymement dans des boîtes aux lettres, où nous
sommes cités (bien entendu sans que nous soyons au courant) et une
photo complète le tableau...
Nous
nous insurgeons contre ce type de procédé que nous avons toujours
condamné et que nous continuerons de condamner. Cela nous rappelle
les heures sombres de notre Histoire. À savoir de verser dans
des allégations vérifiables ou non, sous couvert d'anonymat.
À
la lecture de cette diatribe, nous pouvons apparaître comme
les rédacteurs, d'autant qu'il est fait état du différent qui nous
oppose dans l'utilisation de « en Commun » pour
dénommer ta liste.
Si
nous ne nous sommes pas présentés, c'est qu'après un vote interne,
nous
n'avons pas souhaité mettre en fin de liste des seniors,
un cousin et sa grand-mère pour faire le nombre ! Cela ne t'est
en rien imputable et nous en assumons la pleine responsabilité.
En
ce qui nous concerne, nous réaffirmons que nous faisons de la
politique non politicienne, sans cacher nos engagements. C'est au
moins une chose qui est souvent mise à notre crédit. Nous préférons
« le bruit et la fureur » à la fréquentation
malsaine et silencieuse du caniveau.
Nous
ne sommes pas d'accord avec le positionnement politique de ta liste
qui reste dans une gestion communale du quotidien, alors que nous
préconisons un projet politique anti-capitaliste, éco-sosialiste et
résolument de « gauche » sur la commune et l'agglo et
qui s'articule autour de trois urgences :
- urgence climatique
- urgence sociale
- urgence démocratique
Pour
autant, nos critiques politiques vis à vis de nos
adversaires, voire de la presse ou autre, se sont toujours faites
dans le respect des personnes, tout en condamnant leur approche
parcellaire, non politisée et à contre courant des enjeux
sociétaux,
Nous
rappelons que nous n'avons donné aucune consigne de vote. En ce qui
nous concerne, ce procédé nous ferait presque dévier de cette
ligne !
Sentiments
militants,
Pour
le Comité de Pilotage,
Serge
Lebreton
dimanche 8 mars 2020
Pris les pieds dans le tapis
Nous étions
les seuls, en ces temps-là, à dénoncer la « complicité » affichée du maire
et de son équipe avec le milieu « d’affaires » azerbaïdjanais.
En effet , pour vendre les chais MONNET, après les fiascos successifs des éventuels repreneurs, la majorité municipale n'a pas hésité à s'acoquiner avec cette véritable mafia. Nous nous en sommes inquiétés, en insistant sur cet aveuglement envers un régime autoritaire et anti-démocratique azerbaïdjanais ou les élections font l’objet de fraudes.
Cette « caviardictature » foule au pied les droits de son peuple et fait peser un risque permanent pour la paix dans le Caucase en menaçant notamment l'Arménie.
Cette complaisance pour vendre à un homme « d’affaire » les chais MONNET et choquante : suivez l’argent et fermez les yeux sur ce que l’on ne veut pas savoir ! Pourtant Amnesty international qui dresse un bilan chaque année sur le respect des droits de l’Homme la classe 166ème sur 180 pour la liberté de la presse et par Transpary international 122ème sur 180 pour la corruption dans le monde par son oligarchie et cela dérange personne...
En ces temps d’élections, nous posons la question au futur maire de ce qu’il pense de cette situation et nous lui demandons de renoncer à toutes compromissions, même pour obtenir quelques investissements.
En effet , pour vendre les chais MONNET, après les fiascos successifs des éventuels repreneurs, la majorité municipale n'a pas hésité à s'acoquiner avec cette véritable mafia. Nous nous en sommes inquiétés, en insistant sur cet aveuglement envers un régime autoritaire et anti-démocratique azerbaïdjanais ou les élections font l’objet de fraudes.
Cette « caviardictature » foule au pied les droits de son peuple et fait peser un risque permanent pour la paix dans le Caucase en menaçant notamment l'Arménie.
Cette complaisance pour vendre à un homme « d’affaire » les chais MONNET et choquante : suivez l’argent et fermez les yeux sur ce que l’on ne veut pas savoir ! Pourtant Amnesty international qui dresse un bilan chaque année sur le respect des droits de l’Homme la classe 166ème sur 180 pour la liberté de la presse et par Transpary international 122ème sur 180 pour la corruption dans le monde par son oligarchie et cela dérange personne...
En ces temps d’élections, nous posons la question au futur maire de ce qu’il pense de cette situation et nous lui demandons de renoncer à toutes compromissions, même pour obtenir quelques investissements.
L’argent n’a pas d’odeur
mercredi 4 mars 2020
Des mots, rien que des mots, paroles, paroles...
Une petit mise au point nécessaire
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SO éditions (papier et web) des 27 et 28/02/2020 (cliquer pour lire) |
Pour reprendre les termes de l'article de SO, « 50% des actions qu’ils proposent sont identiques aux nôtres », selon Jonathan Muñoz.
Faux : seulement 20% de mesurettes que nous qualifions de colibris et que nous avions publiées dès le mois de juin, transparaissent dans son programme. Pour autant, cela fait-il un programme de gauche ? Bien sûr que non !
Est-ce un manque d'imagination ou la volonté de brouiller les listes pour avoir nommé la sienne Cognac en Commun ? Curieux, quand notre liste déclarée officieusement Territoire en Commun (juin 2019), dénomination qui s'inscrit dans dans son cheminement politique et dans l'histoire de LFI.
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