dimanche 1 août 2021

Le Pass Sanitaire : des chiffres sous le bon éclairage...

  Angle sanitaire seulement

S
i l'on veut parler chiffres, la démarche scientifique nous indique qu'il faut des échantillons d'égales valeurs avec d'autres type de vaccins en fonction du nombre de vaccins utilisés.

1/ Combien de vaccins de chaque sorte sur la même période ?

2/ Prendre un vaccin différent et éprouvé comme celui de la grippe, dans les mêmes conditions

3/ Prendre celui de l'hépatite B qui a tant foiré et le traiter dans les mêmes conditions.

4/ Établir un tableau comparatif à l'aide de ces données et en tirer les conclusions.

Après on pourra discuter en étant crédible.

Sur Adrreports, un travail intéressant :

Il y a des tableaux sérieux et il ne reste plus qu'à les exporter, les traduire en français et les traiter. Ce qui fait du boulot utile à faire.

Pour travailler les données c'est là (Attention des difficultés avec le navigateur Firefox) :

 

Angle politique

Pour se battre il faut être costaud d'autant plus qu'il faut aussi se battre sur le plan politique :

Vous n'êtes pas antivax,

Vous êtes vaccinés,

Vous ne voulez pas du pass sanitaire,

Vous ne voulez pas de la vaccination obligatoire,

Vous défendez les libertés.

Allez chercher les pétitions : 

Pass no pasaran-Vaccination obligatoire también!-La Dictature Sanitaire ne passera pas (http://www.change.org/Stop-Pass-Sanitaire), 

La Dictature Sanitaire ne passera pas ! 

(https://www.mesopinions.com/.../dictature.../153004...)

La dictature sanitaire ne passera pas ! (https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-511)

Confinements,

Couvre-feu,

Fermetures de commerces et des lieux de culture,

Autorisation de déplacement,

Rassemblements interdits,

Au nom de nos droits et libertés élémentaires, nous rejetons le Passeport-Sanitaire et la Vaccination Obligatoire."

Lisez et signez la pétition en lien avec l'image

Ugo Bernalicis fait le point après la rencontre des députés avec le Conseil Constitutionnel

Communiqué de presse du groupe parlementaire de la France insoumise.

74 députés dont ceux des groupes Gauche démocrate et républicaine, La France insoumise, Socialistes et apparentés et Libertés et Territoires ont déposé un recours pour contester devant le Conseil constitutionnel le projet de loi « relatif à la gestion de la crise sanitaire ».

Nous estimons notamment que les dispositions concernant le « passe sanitaire » sont, en raison de leur caractère disproportionné, manifestement contraires à plusieurs droits et libertés que la Constitution garantit :

L’inclusion dans le champ d’application du « passe sanitaire » de certains lieux comme les centres commerciaux ou les lieux de restauration et l’application de ce régime aux voyages longues distances interrégionaux porte atteinte à la liberté d’aller et venir mais également à la liberté de mener une vie sociale et familiale normale ;
Compte tenu des délais fixés, de la quantité de doses de vaccins en stocks et des livraisons prévues, il ne serait pas possible à toute la population concernée souhaitant se faire vacciner de bénéficier des doses vaccinales prescrites avant l’entrée en vigueur du « passe sanitaire ». Cette mesure porte donc atteinte au principe d’égalité. Le régime de sanction administrative en cas d’absence de contrôle de la détention du « passe sanitaire » implique, pour les professionnels concernés, le recrutement de personnel supplémentaire pour assurer ces contrôles. En faisant exclusivement peser sur les professionnels la mise en œuvre du « passe sanitaire » la loi porte ainsi atteinte à la liberté d’entreprendre.

Les sanctions prévues à l’encontre des travailleurs qui ne présenteraient pas un « passe sanitaire » apparaissent disproportionnées au regard de l’objectif poursuivi. Pour les salariés en contrat à durée déterminée et les intérimaires, ces sanctions peuvent aboutir à la rupture anticipée du contrat de travail. Il résulte pourtant de l’article L. 1132-1 du code du travail, qu’aucune personne ne peut être sanctionnée, licenciée ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire en raison de son état de santé, un principe édicté en vertu de conventions internationales.

De plus, la prolongation de l’état d’urgence sanitaire dans plusieurs territoires d’Outre-mer jusqu’au 30 septembre est totalement disproportionnée eu égard aux défaillances de la politique vaccinale menée par l’Etat dans ces territoires.

Nous estimons enfin que la procédure d’examen de ce texte par le Parlement a été organisée au mépris du principe de clarté et de sincérité des débats parlementaires.

Nous demandons au Conseil constitutionnel de censurer les articles 1er, 2, 8 et 9.

 Communiqué de presse du groupe parlementaire de la France insoumise.

74 députés dont ceux des groupes Gauche démocrate et républicaine, La France insoumise, Socialistes et apparentés et Libertés et Territoires ont déposé un recours pour contester devant le Conseil constitutionnel le projet de loi « relatif à la gestion de la crise sanitaire ».

Nous estimons notamment que les dispositions concernant le « pass sanitaire » sont, en raison de leur caractère disproportionné, manifestement contraires à plusieurs droits et libertés que la Constitution garantit :

L’inclusion dans le champ d’application du « pas sanitaire » de certains lieux comme les centres commerciaux ou les lieux de restauration et l’application de ce régime aux voyages longues distances interrégionaux porte atteinte à la liberté d’aller et venir mais également à la liberté de mener une vie sociale et familiale normale ;
Compte tenu des délais fixés, de la quantité de doses de vaccins en stocks et des livraisons prévues, il ne serait pas possible à toute la population concernée souhaitant se faire vacciner de bénéficier des doses vaccinales prescrites avant l’entrée en vigueur du « passe sanitaire ». Cette mesure porte donc atteinte au principe d’égalité. Le régime de sanction administrative en cas d’absence de contrôle de la détention du « passe sanitaire » implique, pour les professionnels concernés, le recrutement de personnel supplémentaire pour assurer ces contrôles. En faisant exclusivement peser sur les professionnels la mise en œuvre du « passe sanitaire » la loi porte ainsi atteinte à la liberté d’entreprendre.

Les sanctions prévues à l’encontre des travailleurs qui ne présenteraient pas un « pass sanitaire » apparaissent disproportionnées au regard de l’objectif poursuivi. Pour les salariés en contrat à durée déterminée et les intérimaires, ces sanctions peuvent aboutir à la rupture anticipée du contrat de travail. Il résulte pourtant de l’article L. 1132-1 du code du travail, qu’aucune personne ne peut être sanctionnée, licenciée ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire en raison de son état de santé, un principe édicté en vertu de conventions internationales.

De plus, la prolongation de l’état d’urgence sanitaire dans plusieurs territoires d’Outre-mer jusqu’au 30 septembre est totalement disproportionnée eu égard aux défaillances de la politique vaccinale menée par l’État dans ces territoires.

Nous estimons enfin que la procédure d’examen de ce texte par le Parlement a été organisée au mépris du principe de clarté et de sincérité des débats parlementaires.

N
ous demandons au Conseil constitutionnel de censurer les articles 1er, 2, 8 et 9.

Communiqué de presse du groupe parlementaire de la France insoumise.

74 députés dont ceux des groupes Gauche démocrate et républicaine, La France insoumise, Socialistes et apparentés et Libertés et Territoires ont déposé un recours pour contester devant le Conseil constitutionnel le projet de loi « relatif à la gestion de la crise sanitaire ».

Nous estimons notamment que les dispositions concernant le « passe sanitaire » sont, en raison de leur caractère disproportionné, manifestement contraires à plusieurs droits et libertés que la Constitution garantit :

L’inclusion dans le champ d’application du « passe sanitaire » de certains lieux comme les centres commerciaux ou les lieux de restauration et l’application de ce régime aux voyages longues distances interrégionaux porte atteinte à la liberté d’aller et venir mais également à la liberté de mener une vie sociale et familiale normale ;
Compte tenu des délais fixés, de la quantité de doses de vaccins en stocks et des livraisons prévues, il ne serait pas possible à toute la population concernée souhaitant se faire vacciner de bénéficier des doses vaccinales prescrites avant l’entrée en vigueur du « passe sanitaire ». Cette mesure porte donc atteinte au principe d’égalité. Le régime de sanction administrative en cas d’absence de contrôle de la détention du « passe sanitaire » implique, pour les professionnels concernés, le recrutement de personnel supplémentaire pour assurer ces contrôles. En faisant exclusivement peser sur les professionnels la mise en œuvre du « passe sanitaire » la loi porte ainsi atteinte à la liberté d’entreprendre.

Les sanctions prévues à l’encontre des travailleurs qui ne présenteraient pas un « passe sanitaire » apparaissent disproportionnées au regard de l’objectif poursuivi. Pour les salariés en contrat à durée déterminée et les intérimaires, ces sanctions peuvent aboutir à la rupture anticipée du contrat de travail. Il résulte pourtant de l’article L. 1132-1 du code du travail, qu’aucune personne ne peut être sanctionnée, licenciée ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire en raison de son état de santé, un principe édicté en vertu de conventions internationales.

De plus, la prolongation de l’état d’urgence sanitaire dans plusieurs territoires d’Outre-mer jusqu’au 30 septembre est totalement disproportionnée eu égard aux défaillances de la politique vaccinale menée par l’Etat dans ces territoires.

Nous estimons enfin que la procédure d’examen de ce texte par le Parlement a été organisée au mépris du principe de clarté et de sincérité des débats parlementaires.

Nous demandons au Conseil constitutionnel de censurer les articles 1er, 2, 8 et 9.

COMMENT LE PASS SANITAIRE VA-T-IL CHANGER NOS VIES (Blast)

 

À Angoulême le 30/07 :

1500 manifestants au moins ! Charente Libre

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Les commentaires irrespectueux, insultants, racistes ou non conformes à la loi seront effacés dans leur intégralité.
Pensez que ce vous écrivez sera archivé et lisible pendant plusieurs années, donc merci de bien tourner 7 fois votre clavier avant d'écrire...
Merci d'indiquer votre nom ou un pseudonyme avec votre commentaire.