lundi 19 octobre 2020

Après le drame absolu de l'assassinat de Samuel Paty, prof d'Histoire...

Samuel a été « éliminé » de ce monde - c'est malheureusement bien le terme qu'il faut employer - mais il restera toujours auprès de nous, en bon Hussard noir de la République, pour nous rappeler, au cas où il serait possible d'oublier, que sa mort n'aura pas été vaine !

  • Désormais, ceux qui ne savaient pas, ne pourront plus le dire pour justifier leur absence.
  • Désormais, c'est un devoir de vigilance qui s'impose à nous tous.
  • Désormais, nous avons comme tâche prioritaire de faire que nos enseignants, tous nos enseignants, toutes disciplines confondues, puissent librement, comme les instructions officielles le leur imposent, enseigner à leurs élèves.
  • Désormais, nous empêcherons, par notre action, toutes bienveillances avec les tenants de l’islamisme radical qui ne doit pas avoir droit de cité sur le territoire français.
  • Désormais, nous serons plus attentifs encore auprès des citoyens musulmans qui ne confondent pas islam et islamisme dans leur écrasante majorité.

Les citoyens se sont mobilisés, derrière les enseignants qui ont très vite pris la tête des rassemblements dans toute la France, avec les collègues de son établissement et les habitants de Conflans. 

La République lui a rendu hommage comme il se devait à la Sorbonne. Un hommage sobre et solennel. Il s'est conclu sur cette phrase du Président de la République : « En France, la lumière ne s’éteint jamais ! »

Plus que jamais, nous éclairerons le débat et nous agirons pour que les actes suivent les paroles.

C'est l'affaire de tous que de protéger les enseignants qui veulent exercer leur métier librement, sans la pression des extrêmes quels qu'ils soient. Pas d'auto-censure qui constituerait une victoire pour les obscurantistes de l'islam. Désormais, dès qu'un incident se fait jour dans une école, un établissement, les parents, la communauté éducative ont le devoir d'être de suite à leur côté, seul moyen pour que le drame de Conflans ne se renouvelle. C'est un devoir national !

Désormais, nous avons tous, enseignants et parents, le devoir, la mission de nous dresser ensemble pour faire barrage à la barbarie et permettre de continuer à exercer leur beau métier aux Hussards noirs modernes, sans aucune auto-censure. C'est ainsi que les extrêmes de tout bord ne gagneront JAMAIS.

Restons LIBRES avec des enfants citoyens LIBRES !

Essayons de comprendre...

Il est légitime de se poser ces simples questions : comment, dans notre pays, a-t-il été possible d'en arriver là ? Comment un jeune de 18 ans a-t-il pu être conditionner pour commettre un acte d'une telle barbarie ? Pourquoi une telle montée du racisme ? Pourquoi entretenir la confusion entre l'Islam et les islamistes ?

C'est à ce niveau qu'il faut débattre et ne pas réfugier derrière la fatalité. Cela fait trop longtemps que l'obstacle est contourné, que la poussière est mise sous le tapis. Cette fois, les terroristes de la pensée, les barbares veulent empêcher ce qu'un pays a de plus précieux : que sa jeunesse soit bien éduquée, critique donc libre et maîtresse de son avenir. Ils veulent empêcher les enseignants d'instruire leurs élèves, sous peine de les éliminer froidement, atrocement, comme Samuel et de créer un climat de terreur. Comme pour Charlie, nous ne devons pas courber l'échine et les cérémonies finies, nous n'avons pas le droit d'oublier, mais de nous montrer dignes de Samuel.

Que s'est-il passé pour, en si peu de temps, connaître de tels évènements ?

La crise économique, le libéralisme, la mondialisation sont parmi les principales causes de la crise morale de la société.

Le règne renforcé du fric en est une quatrième cause. Toutes les valeurs sont karchérisées par l'omniprésence de l'argent qui les efface de facto. Que reste-t-il de la solidarité, de la satisfaction du travail bien fait, de  la conscience professionnelle, par exemple ? Partout c'est non seulement la course aux profits pour les entreprises et la marche forcée des travailleurs, qu'ils soient ouvriers, employés ou cadres, vers toujours plus de salaire à n'importe quel prix. Ce prix se paie très cher :

  • au niveau de la famille où les enfants font de plus en plus les frais de cette recherche,

  • vis à vis des nécessaires solidarités dans les entreprises et donc une diminution très importante du taux de syndicalisation,

  • au niveau de l'information, où, trop souvent faute de temps, on avale sans sourciller la soupe des médias mainstream et particulièrement celle des chaînes d'infos en continu,

  • quand il s'agit de se cultiver en allant aux spectacles, en lisant des livres, en participant au mouvement associatif, en profitant des reportages, des entretiens qui prennent du recul par rapport à l'actualité et permettent de remettre les évènement dans leur contexte historique,

  • quand on ne prend plus le temps de se concerter avec les enseignants, préférant l'invective à la discussion et à l'éducation partagée. Quand ça ne va pas loin !

C'est ainsi que nombre de jeunes sont livrés à eux-mêmes, prisonniers des marques et grands consommateurs des réseaux sociaux. Ils y prennent la plupart du temps, les infox pour argent comptant, faute d'une culture bien assimilée. De là, il est aisé de glisser vers des extrêmes qui calment leurs inquiétudes légitimes face à un avenir trop sombre pour susciter le moindre espoir.

Dès lors comment s'étonner qu'un jeune de 18 ans, des fois moins, soit complètement conditionné par les islamistes qui utilisent ce créneau où leur influence est aisée  ? Par conséquence, comment s'interroger sur la différence entre Islam et islamisme et sur la laïcité qui est inscrite dans notre Constitution ? Tout simplement, comment être un bon adulte citoyen ?

Ce sont ces questions qui ne trouvent pas leurs réponses. Elles déclenchent un processus infernal : l'individualisme forcené conduisant vers le refus des politiques, des responsables syndicaux et la désertion du terrain des associations.

La montée du racisme favorise le rejet de l'autre, des cultures qui ne sont pas nôtres

Ce phénomène est directement lié aux questions traitées dans le chapitre précédent. L'absence d'idéal conduit à ce comportement d'exclusion toujours accompagné de violence. On est vite tombé dans l'obscurantisme, les ténèbres du savoir qui permettent toutes les déviances, les rejets, les assassinats ! Et la boucle est bouclée !

Les savoirs nouveaux masquent une culture bien fragile, voire quasi inexistante. Dans ces conditions, la réflexion se résume, hélas aux slogans des réseaux sociaux...

La dévalorisation considérable du statut de l'École nuit gravement à la santé de notre société. Elle se caractérise par une déconsidération des enseignants qui sont très mal payés et très peu défendus par la République. L'école n'est plus respectée par les parents en général, depuis des décennies et la prépondérance des réseaux sociaux n'a fait qu'aggraver le phénomène.

Comme il est dit dans l'article suivant :

« la mise en cause de la parole des enseignants, remonte, avant même l'avènement d'Internet, aux années 90 où, notamment, les écoles primaires et maternelles étaient tenues de faire signer le projet d'école par les représentant des parents au Conseil d'École (Les conseils d'écoles sont créés par un décret de 1990, dans le cadre de la loi d'orientation sur l'éducation de 1989, abrogé par le décret n° 2008-263 du et intégré au code de l'éducation à l'article D411-1. Wikipédia). Projet pédagogique où les non enseignants n'ont aucune compétence ! »

Il est donc urgent de remettre la maison au milieu du village et de favoriser l'interaction de chaque partie, afin que l'École fonctionne au mieux de l'intérêt des enfants. L'École doit être un milieu ouvert, dans le respect des spécificités de chacun. Les enseignants enseignent et les parents éduquent !

Dans un tel cadre, la laïcité est la seule garante du pluralisme des idées et les collaborations toujours possibles entre enseignants et parents se font sur ces bases et seulement sur ces bases. Dans cette affaire la responsabilité de l'État est énorme.

Un devoir prioritaire est que nous ayons tous conscience que le racisme est un fléau pour notre démocratie. Fléau d'autant plus redoutable que l'État joue trop souvent, quand ça l'arrange, sur les ambiguïtés pour polluer la réflexion.  De ce point de vue, il doit avoir une attitude exemplaire, s'il veut éradiquer ce poison qu'utilise l'extrême droite.

Dans tout ça où en est-on de l'islamisme ?

C'est soit la confusion, soit la manipulation ! Dans les deux cas c'est de nature à s'exclure les uns le autres. La République ne peut pas se situer sur ce terrain. Elle a pour mission de protéger son peuple de l'islamisme qui vise à semer la terreur au nom d'un islam politique fondamentaliste, extrémiste qui ne supporte pas que l'Histoire ait inscrit au plus haut des acquis de l'Humanité la démocratie, la tolérance, le respect des autres et en particulier des femmes. Ce fondamentalisme politique ne peut que conduire le Monde à sa perte et ça n'est pas le Coran qui le recommande mais des manipulateurs que sont ces chefs islamistes qui, sans vergogne, dénature leur propre religion ! L'Islam et lui aussi le grand perdant de cette prise de pouvoir de la part de ces « fous de Dieu », si toutefois ils y parvenaient.

L'Islam est une religion qui a pour caractéristique de ne pas avoir de clergé et donc de n'avoir personne qui régule la vie des fidèles. Il a pour loi le Coran, comme les catholique sont la Bible, les juifs la Thora, etc... Comme tous les textes anciens, les interprétation sont nombreuses et donnent lieu à des débats très savant au sein des savants de l'islamologie. Mais, en aucun cas un musulman pratiquant ne versera dans la violence, par exemple, au nom de sa religion. Dès lors, nous voyons bien la différence avec l'islamisme. Ne pas la voir c'est devenir complice des terroristes et c'est donc nuire à la société.

Voilà ce que l'École doit enseigner en ce domaine, en même temps qu'elle a pour mission de mener tous les élèves au statut de citoyen responsable qui a des devoirs et des droits, vis à vie de la République. Voilà pourquoi Samuel Paty a eu raison d'éduquer ses élèves à la liberté d'expression si précieuse en démocratie. Il l'a illustré par le débat et les drames des caricatures et il a eu raison et fait preuve de beaucoup de pédagogie au moment où se déroule le procès des assassins des journalistes, dessinateurs et personnels de Charlie Hebdo. N'oublions jamais cette horreur, comme nous n'oublierons pas la décapitation barbare de Samuel parce qu'il faisait son métier !

 

"Les pédagogies modernes ont sanctuarisé

la parole des ignorants en contestant

le rôle même des professeurs"

Par Jean-Paul Brighelli (Mariane)

Publié le

Extrait de l'article de Mariane

Abattre un assassin ne suffit pas

« Disons les choses un peu plus crûment. Le droit à, l’expression des élèves, inscrit dans la loi Jospin en 1989, a abouti à un déferlement de grosses bêtises assénées comme des vérités d’évidence, et mises en concurrence avec ce que disent les enseignants. En fait, les pédagogies modernes ont sanctuarisé la parole des ignorants en contestant le rôle même des professeurs. "C’est mon avis" est étayé par "C’est mon droit". C’est mon droit de penser que la Terre est plate, que les Illuminati gouvernent notre monde, et que la charia est une loi supérieure à celle de la République, comme le pensent 40% des élèves musulmans.

De là à découper des professeurs au couteau, dans un rituel d’égorgement inspiré d’Ibrahim / Abraham, il n’y a qu’un pas.

Comment disait Colomba [NDLR : nouvelle de Prosper Mérimé parue le dans la Revue des Deux Mondes puis publiée en volume en chez Magen et Comon], déjà : "Il me faut la main qui a tiré, l’œil qui a visé, le cœur qui a pensé…" Ou, si l’on préfère des termes juridiques modernes, abattre un assassin ne suffit pas : il faut trouver ceux qui lui ont mis, d’une façon ou d’une autre, le couteau à la main et des idées de meurtre dans la tête. Et s’en débarrasser. »

C'est une opinion extrêmement tranchée qui mérite quelques nuances :

    1. même si les pédagogies nouvelles ont été quelque peu naïves sur le sujet, la responsabilité fondamentale revient, et de loin, à l'État qui n'a jamais cessé de faire de la démagogie, que ce soit par rapport aux enfants qu'avec les adultes. En parallèle, la société, l'opinion, les spécialistes de l'enfance ont fait preuve de prosélytisme sur cette question,
    2. la mise en cause de la parole des enseignants, remonte, avant même l'avènement d'Internet, aux années 90 où, notamment, les écoles primaires et maternelles étaient tenues de faire signer le projet d'école par les représentant des parents au Conseil d'École (Les conseils d'écoles sont créés par un décret de 1990, dans le cadre de la loi d'orientation sur l'éducation de 1989, abrogé par le décret n° 2008-263 du et intégré au code de l'éducation à l'article D411-1. Wikipédia). Projet pédagogique où les non enseignants n'ont aucune compétence !
    3. L'arrivée des réseaux sociaux ont carrément pulvérisé la parole des enseignants à laquelle se sont substituées un nombre impressionnant d'affirmations, de contre vérités, de propagande anti enseignants, de tribunes idéologiques combattant l'institution même qu'est l'Éducation Nationale.
    4. Très rapidement les thèses négationnistes sur le savoir, importées notamment des États Unis se sont développées à la vitesse V. Elles ont donné la main aux idéologues de tout poils, aux obscurantistes et au premier rang des quels on y trouve les mouvements intégristes en général et Islamistes en particulier. La boucle est bouclée et il ne restait plus qu'à éliminer les profs qui font leur métier : c'est fait !
    5. « ...il faut trouver ceux qui lui ont mis, d’une façon ou d’une autre, le couteau à la main et des idées de meurtre dans la tête » : dire seulement ça n'est pas suffisant ! Il faut les nommer et pas seulement les intégristes, mais aussi le pouvoir politique qui, pour des raisons de politique intérieure, a été laxiste, à la limite de la complicité !

 

Hommage à Cognac...

Mercredi 21/10/2020 Parvis de la Mairie de Cognac © Crédit photo : C. L.
Les collègues de Samuel s'expriment (Collège de l'Aulne - Conflans-Saint-Honorine) :

« Nous tenons tout d'abord à exprimer notre immense tristesse et tout notre soutien à la famille de Samuel.

Nous savons que le drame qui touche notre collège bouleverse l'ensemble de la profession.

Nous avons été, comme vous tous, sous le choc de cet acte odieux qui dépasse l'entendement. La décence envers la famille de notre collègue, le respect des procédures de l'enquête, la prise en compte du traumatisme de l'ensemble de la communauté éducative nous ont amenés à différer notre prise de parole.

Samuel était un collègue investi dans sa mission auprès des élèves. Nous garderons en mémoire tous les bons moments partagés avec lui.

Le socle de l'école publique repose sur les valeurs républicaines et laïques. Ce sont bien ces valeurs que défendait Samuel dans son enseignement sur la liberté d'expression. A travers lui, c'est toute l'école républicaine qui est visée. Aujourd'hui, nous réaffirmons, plus fort que jamais, notre attachement à ces valeurs et notre détermination à les transmettre au quotidien dans l'intérêt des élèves.

Par ailleurs, nous exprimons notre vive inquiétude face à l'impact des réseaux sociaux. La rapidité avec laquelle l'information est diffusée au plus grand nombre, et son aspect irréversible, sont un véritable fléau dans l'exercice de notre métier.

Aussi, nous réclamons le droit d'exercer notre profession dans le respect de la liberté pédagogique et en toute sécurité. Enfin, nous tenons à remercier chaleureusement tous ceux qui nous ont témoigné leur soutien au cours de ces derniers jours. »

Ce texte a été lu à l'initiative d'un enseignant, car c'était une façon que tous les personnels de l'établissement soient parmi les Cognaçais.

La Principale du Collège du Bois d'Aulne (Conflans St Honorine) vous remercie


Mesdames, Messieurs,

Je tiens à vous témoigner à tous ma plus profonde gratitude et toute ma reconnaissance pour les très nombreuses marques de sympathie, de fraternité, de gentillesse, de soutien, de solidarité et d'aide que vous avez bien voulu témoigner à la famille de Samuel Paty et a toute la communauté éducative du collège du Bois d'Aulne. 

Vos messages proviennent de tous les territoires de France (métropole, outre-mer) et partout dans le monde. 

Vos mots, textes, poèmes, dessins et autres écritures, nous ont particulièrement touchés. Je m'engage à ce que tous ces messages et témoignages soient mis à la disposition des personnels du Bois d'Aulne et qu'ils soient également transmis à la famille de notre collègue, Monsieur Paty.

La pensée qu'un professeur ait pu être menacé et tué pour défendre la laïcité m'est intolérable. Notre indignation est immense tout autant que doit être notre détermination à nous défendre contre toutes les formes d'agressions aux valeurs républicaines, comme le faisait Samuel Paty. 

Lors de l'hommage que nous rendrons la semaine prochaine à Monsieur Paty en présence des élèves et des personnels, je penserai à lui et je penserai à vous tous.

"L'éducation est l'arme la plus puissante pour changer le monde", Nelson Mandela

Avec toute ma reconnaissance,


Audrey FOUILLARD

Principale

Collège du Bois d'Aulne


Adresse Postale : Collège du Bois d'Aulne
1 place René Picard 78700 Conflans St Honorine
  www.clg-bois-d-aulne-conflans.ac-versailles.fr


 Cognac : vibrant hommage à Samuel Paty

Courrier Français hebdomadaire régional (Charente)

« Morgan Berger, maire, a rendu hommage à celui qui « aurait pu être son prof ». Émotion et solidarité avec les enseignants qui ont répondu nombreux à l’appel.

« Faire bloc contre la barbarie qui s’est exercée contre ce professeur qui aurait pu avoir été le nôtre », a dit Morgan Berger, mercredi après-midi 21 octobre, aux quelque cent cinquante personnes qu’il avait invitées à se rassembler devant la mairie pour un hommage posthume à Samuel Paty, le professeur d’histoire de Conflans-Sainte-Honorine décapité par un terroriste. »



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À ceux qui veulent diviser les Français

Une déferlante d'infox, d'insultes s'est abattue sur les réseaux sociaux, avec pour cible Jean-Luc Mélenchon.

Sarah Legrain, oratrice nationale de LFI fait une mise au point sans concession sur l'insoumission.


Sud Radio : Spéciale attentat de Conflans-Saint-Honorine - Samuel Paty, prof d'histoire décapité

 « Un des miens est décapité. En pleine rue. Achetez-vous une dignité »

« Un des miens est décapité. » Geoffrey est prof d’histoire-géographie et d’éducation morale et civique dans un collège des Yvelines. Il a publié ce texte sur Facebook, et nous a autorisé à le relayer, ici.

1 commentaire:

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